L'Académie d'Étilac
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Perdue au coeur de la légendaire cité d'Atlantis, se trouve une école... Bienvenue à l'académie d'Étilac...
 
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 la guilde d'Alkÿnn

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AuteurMessage
Karis
Invité




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MessageSujet: la guilde d'Alkÿnn   la guilde d'Alkÿnn EmptyMar 26 Juin 2007 - 12:56

J'ai créé un forum mais je me rends compte qu'il me manque la chose la plus importante pour que le forum vive....Des membres!!!!!!!!!!!!!

alors voici l'adresse: http://alkynnetmalediction.clic-topic.com/

L'histoire...



Sìphrÿyn était jeune à cette époque, elle n'avait que treize ans. Elle vivait dans un village de paix et de bonheur. Elle n'aurait jamais pensée voir son monde s'écrouler. Mais le destin est parfois méchant. Cette journée était comme toutes les autres, tranquille et paisible.
Vers midi, tout changea. La tranquillité devint chaos, la paisibilité devint hurlement et supplication.
Des hommes du roi s'abattirent sur le village, tuant, violant, massacrant et pillant. Une lueur d'espoir traversa les cœurs en panique quand ils virent des elfes et des mages de toutes sorte apparaitre entre les agresseurs et les victimes...Mais même avec leur aide, le village fut détruit et tout les mages et les elfes furent tués ou capturer et torturer. Sìphrÿyn n'oublia jamais les cris et le sang. Elle s'était cachée dans les buissons, et paralysée par la peur elle n'avait pas bougé. C'était un mage qui l'avait sauvé et cacher avant de se faire éventrer. Sìphrÿyn était resté là bien après que le carnage soit fini. Elle se fit la promesse que chaque souffle qu'elle prenait serait donné pour que les créatures magiques puissent vivre et pratiquer leur art sans craindre qui que se soit.
Les années passèrent et malgré toutes les petites attentions, manifestation suivi d'un séjour en prison, le mal fait à ces êtres ne cessait d'augmenter. De plus Sìphrÿyn devenait vieille. C'est alors qu'elle entendit parler d'une rose noire qui donnerait l'immortalité. Elle ne prit pas la peine d'écouter toute l'histoire et partie à la recherche de cette rose de légende.
Cette légende dit qu'il existe une rose plus noire que la nuit et les abysses de la mort. Cette rose est unique; elle donne l'immortalité à celui ou celle qui la touche. Malheureusement cette rose vie sur la plus haute montagne du continent. Personne ne se risque à aller la toucher puisqu'elle est entourée de ronces noires et épaisses aux épines empoisonner. Alors chaque jour cette fleur vie et chaque soir cette fleur meurt sans que personne ne puisse voir sa beauté ni gouter à son éternité.
Sìphrÿyn parcouru plusieurs montagnes dans celle de Salvacandre sans jamais trouver une seule rose à leurs sommets. Découragée et gelé par la neige éternel, elle se trouva une grotte et s'y endormie. Quand elle se réveilla, il faisait tempête; un blizzard. La vieille femme se leva au prix d'un effort surhumains. Elle marcha dans la neige et dans le blizzard, se laissa tomber tête première dans la neige. Elle ne bougea plus et laissa la neige l'enterrer dans sa tombe. Le blizzard souffla pendant trois jours et trois nuits, ne s'arrêtant qu'à l'aube.
Plus aucune trace de la vieille, ni de la grotte.
L'âme dans les sentiers de la mort et le cœur à la porte du monde des vivants, Sìphrÿyn comprit la légende comme si c'était elle qui l'avait faite.
Ce n'était pas une légende mais bien une énigme; l’énigme de la vie.
La rose noire représentait la vie, les ronces la mort, le poison des ronces le mal de vivre. Pour pouvoir arriver à la vie il fallait passer par le mal de vivre et par la mort.
Derrière ses yeux clos, elle vit un voile noir s'abattre sur ses yeux puis un point blanc qui devenait de plus en plus gros embrasa ses pupilles. Son esprit se retrouva sur le sommet d'une montagne. Tout était recouvert de neige. À une cinquantaine de pas d'elle se trouvait une rose noire. Elle voulu s'en approcher mais ses pieds n'avancèrent pas. Elle ne les sentait même plus; Elle était assit. Elle se coucha et se mit à ramper elle rampa du mieux qu'elle pu, mais le crépuscule arrivait à trop grand pas. Elle n'aurait jamais le temps de se rendre avant. Cette pensée la choqua et elle augmenta le rythme.
Il ne restait que quelques minutes avant que la fleur meurt lorsque Sìphrÿyn arriva à sa hauteur. Elle la cueillit et la senti. Elle sentait bon un léger parfum.
Sìphrÿyn se réveilla enterrer dans la neige, elle se mit à crier. Personne n’était supposé être là, mais l’immortelle eu de la chance. Quelqu’un l’entendit et se précipita pour la déterrer. Une fois à l’air libre Sìphrÿyn inspira une grande goulée d’air. Un homme d’un certain âge lui sourit.
Sìphrÿyn redescendit, après quelques temps, dans la forêt des sans-âmes. Elle et les hommes qui l’avaient sauvé sur la montagne bâtirent le château de la guilde d’Alkÿnn. Sìphrÿyn propagea la nouvelle d’un endroit paisible pour toutes les créatures magiques, elle ne dévoila pas l’emplacement mais dit que tous qui avaient un esprit ouvert était les bienvenus.
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