Nom: Diefenbaker
Prénom:Oscar
Sexe: Masculin
Âge: 64 ans
Race: Ange
Caractère: Le Baron de Diefenbaker, dans ses jeunes années, fut sans aucun doute le seigneur le plus réputé de toute la région ouest d’Atlantis. Que ce soit pour sa bonhomie naturelle ou pour sa générosité débordante, les gens de la ville ont toujours su l’apprécier. Simple mais intelligent, le vieil homme aime son confort et sa vie paisible de retraité. Souvent caractérisé par les autres comme un grand-père aimant, Sir Oscar se plait à rire et à aimer. Les choses simples de la vie le fascine, mais il ne saurait vivre hors de la richesse et du nid douillet qu’il affectionne. Soumis à la femme qu’il aime, ce milord est sans aucun doute le seul être vivant à oser remettre en question certains jugements de sa douce. De caractère romantique, Sir Oscar déteste le désordre et la chicane et tente toujours de dissoudre les tentions.
Physique: Oscar Diefenbaker n’a de sir que le nom. En effet, la grâce habituelle des barons et des milords a totalement échappée au contrôle de l’homme grassouillet. Sa petitesse met en évidence ses rondeurs, et son visage dodu trahi son côté aimable et généreux. Ayant à l’origine des cheveux roux qui ont été ternis par l’âge, le Baron de Diefenbaker possède maintenant une mince chevelure blanche, et l’on aperçoit son crâne dégarni. Malheureusement pour lui, Sir Oscar n’a hérité de sa race que des ailes, qui supportent à peine son poids, lui permettant de voleter légèrement. La grâce, la grandeur et la beauté ne sont donc pas des caractéristiques que l’homme partage avec les gens de sa race.
Histoire: Du plus loin que l’histoire populaire se souvienne, la famille Diefenbaker a toujours été riche. Très riche. C’est donc au milieu d’un assemblage hétéroclite d’épées et de boucliers que Sir Oscar grandit. Habitué aux maniements des armes et à l’équitation, le jeune seigneur n’y ressentit jamais aucun intérêt, préférant régler les discordes sans batailler. Sir Oscar se faisait souvent reprocher son esprit conciliant et sa peur de la confrontation. La famille Diefenbaker n’appréciait guère ce genre de comportement, qui entachait le renom guerrier de la famille, jusqu’au jour où le caractère pacifique de monsieur lui permit d’accéder à une place au Conseil de la ville.
La rencontre du Baron De Diefenbaker et de Miss Lanslevillard fut d’ailleurs assez fortuite. C’est au coin d’une rue achalandée de la métropole que le « coup » arriva. Monsieur observait avec concentration les chatons de la vitrine, à la recherche d’un Baronnet, deuxième du nom, tandis que madame tournait le coin avec vitesse, toute chargée qu’elle l’était par ses courses. Sir Oscar, obnubilé par le choix décisif de son prochain chat, ne vu pas la grande dame qui fonçait vers lui d’un pas assuré. Sans qu’il en comprenne la raison, le Baron de Diefenbaker, se retrouva à contempler la vitrine à partir du sol. Il entendit un cri d’effroi, suivit d’une chute rocambolesque de foulards, gants, manteau de fourrure et autres babioles. La charmante dame qui l’avait percuté se mit alors à le sermonner, et le pauvre homme sentit alors tout le mal qu’il venait de causer. En effet, il avait été complètement dangereux de rester ainsi au milieu du passage, bloquant l’accès à toutes les femmes chargées de leur course. Horrifié par son comportement inadéquat, Sir Oscar s’apprêta à formuler une longue liste d’excuses, mais sitôt les premier mots prononcés, la grande dame repartie à toute allure. Étonné, le Baron haussa les épaules, et, toujours assis sur le sol, se remit à contempler la vitrine. Il aperçut alors le chat qui porterait le nom de Baronnet, deuxième du nom. Il entra dans la boutique et l’acheta.
Tout en ramenant son nouveau protégé vers sa demeure, le Baron de Diefenbaker ne put s’empêcher de penser à la dame du coin de la rue et fut attristé à l’idée de ne jamais la revoir. Par contre, l’arrivée prochaine de sa nomination à l’assemblée chassa rapidement ses pensées de son esprit.
Quelques jours plus tard, à la réunion du Conseil de la ville, Sir Oscar eut le bonheur intense d’être présenté au grand conseil. Mais détrompez-vous ! Ce n’était pas le fait de rencontrer tant de gens importants, mais bien d’apercevoir, face à lui, la dame aux foulards, qu’il avait en secret de tous (mis à part Baronnet) espéré revoir.
Le mariage fut somptueux. La mariée magnifique, le marié gourmand. De partout dans la ville, on vint assisté à la réunion des deux familles : les Lanslevillard et les Diefenbaker. Miss Lanslevillard devint Lady Diefenbaker. De cette prolifique union naquirent 4 belles filles : Victoria, Marie, Abigaëlle et Simone. Le cadet, Gaston, fut, selon monsieur, un peu plus débauché que les quatre filles. Par contre, quiconque tient à sa vie se doit de taire le nom de Gaston Diefenbaker devant Lady Myrtille.
Chacune des formidables jeunes filles épousa un riche héritier et toutes passent une existence paisible. D’ailleurs, vous connaissez peut-être Lisbeth De la Lande. Elle est en fait la fille de Victoria, qui a marié le très connu Joseph De la Lande, riche homme d’affaires. Sir Oscar adore sa petite fille, qu’il comble de gâterie, au grand déplaisir de sa femme.
Si vous n’avez pas entendu parler des Diefenbaker récemment, c’est en raison du fait que le couple ou plutôt madame avait décidé d’aller passer une paisible retraite dans un coin reculé de l’Irlande où ils possédaient un petit domaine (22 hectares). Cependant, étant donné les étranges événements qui se trament sur Terre, le couple décida de revenir à Atlantis, dans leur petit pied à terre. (Petite villa de 65 pièces comptant à peine 20 chambres). Sur les conseils de sa femme, le vieil homme à décider de retourner à Atlantis, offrir toute l’aide que son vieux cœur sera en mesure de fournir.
Poste: Retraité, ancien membre du conseil
Pouvoirs: Sir Oscar Diefenbaker à la capacité de faire léviter toute sorte d’objets.
Particularités: Le Baron possède un chat grassouillet, tout à son image, qui mange beaucoup et qui dort toujours. Appeler Baronnet, sixième du nom, il est chéri par son propriétaire qui a habituellement les mêmes passes-temps que son animal de compagnie. (Cités une phrase plus haut)