Un repas[venez, je ne vai pas vous manger...façon de parler]

L'espomac de Torkalor criait famine depuis quelques jours. Il avait envie de viande, de viande crue par dessus tout. Rien d'autre ne lui importait pour le moment. Il commança donc sa chasse dans la partie hiver. Il la préférait de toute les autres car le froid ne lui faisait absoluement rien, et il y avait générallement moins de monde par là. Son côté minotaure sauvage avait refait surface et si quelqu'un apparaissait en ce moment, il risquait de lui servir de repas. Et oui, tant qu'il mangeait, peu importait qui ou quoi !
Heureusement il tua un cerf avant que quelqu'un n'arrive. Mais alors qu'il découpait la peau avec ses griffes, un buisson bougea étrangement. Quelqu'un était surrement par la.

(( Mwa -> je m’incruste U_U ))

La jeune De Surïon avait décidé de faire, une fois de plus, un petit détour par la forêt, histoire de s’aérer l’esprit et se dégourdir les jambes. Comme à son habitude, elle avait choisit l’Hivers pour flâner. Le meilleur endroit pour ne rencontrer personne.
Elle se trouvait donc toute occupée par ses pensées jusqu’à ce qu’elle entende un bruit étrange faisant répercutions à trop de mouvement pour n’être que le vent.

- Mhu ?

Pas pressée et loin de se douter à qui elle avait affaire, elle se retourna et changea bien vite d’expression en apercevant un cerf et... Heu…
Oui, bon, en attendant, son instinct de survie étant le plus poussé, elle se réfugia silencieusement derrière un buisson épineux.

* Pourquoi c’est toujours sur moi que ça tombe ??? >_< *

Peut-être parce que, malgré toute les mésaventures qu’elle avait pu vivre dans la section Hivers, elle y revenait, inexorablement.

* Bien, allons, reste clame et surtout furtive… *

Yuthiana se mit donc à quatre pattes afin de pouvoir avancé sans être vue.
Mais, comme l’énorme catastrophe ambulante qu’elle était, son chemisier c’était emberlificoté dans les ronces du buisson. Aussi, lorsqu’elle voulu se carapater vite fait, le buisson frémit légèrement, une branche entraînée par le tissus.

* Gniiiiiiiiii !*

Sa peau dû certainement passé de la blancheur de mort au bleu et, cela, sans étape intermédiaire. Néanmoins, elle gardait son sang bien froid.
Après un instant d’immobilité, elle s’activa à démêler le chemisier du branchage, avec tout le silence dont elle était capable.
Si seulement elle n’avait pas été à sa place !