Une prison de végétal!

Félicia ce promenait le soir, dans l'endroit qu'elle adorait le plus. Les jardins. Quand elle était petite, sa mère faisait pousser toute sorte de fleurs dans le jardin. Sus son passage, les fleurs et les plantes , essayait de s'accrocher a elle. Ils lui disaient pleins de mots doux dans l'oreille, des murmurs appaisants. Elle regarda autour d'elle puis choisit d'aller s'assoir un peut a l'écars sur un banc. Les plantes grimpères et vinrent former un espèce de chaise confortable pour elle. Depuis son arrivé, elle n'avait pas vraiment réfléchis a ce qu'elle allait faire ici. Bien sure, elle voualit étudier, mais elle n'avait pas prit beaucoup de temps pour y penser pleinement. Voila le moment idéale. Elle acota sa tête en arrière et ferma les yeux. Elle vogua dans les plus infimes recoins de sa mémoire.

Elle ce réveilla d'un coup, elle avait entendu du bruit. Des papillons voletaient autour d'elle. Comme si les plantes avaient sentit sa frayeur, elle ce refermère sur elle d'un coup. Elle sursauta et ce recrocvilla sur elle même. Elle utilisa son pouvoir de la terre pour essayer de les empêchers mais rien a faire, ils reffusaient cartégoriquement de la laisser partir. Plus elle essaya, plus ses forces la quittait. Elle commencait a paniquer. Elle utilisa donc comme second moyen, de pousser la prison de plantes de manière a la briser. Mai elle ne pu que resserer les liens. La lumière commencait déjà a disparaitre, ces forces la quittait et le manque d'oxygène ce faisait sentir. En dernier recours, elle hurla. espérent que son cri de détresse arriverai a percer la menbranes végétal.

Félicia lutta contre le sommeil qui ce faisait de plus en plus fort. Ni pouvant plus, elle ferma les yeux et sombra dans le gouffre de l'inconscience. Ne sacahnt pas si quelqu'un entenderai son cri de détresse ou si elle allait mourir là, dans la seule maison qu'elle avait su trouver...

La khajit venait à peine d’entrer dans le jardin.

Elle tenait dans sa main droite un parchemin sur lequel était annoté une série de plantes dont elle avait besoin pour certaines préparations. Depuis qu’elle avait découvert que son pouvoir de régénération n’était pas illimité, elle devait soigner le maximum de maladies avec des élixirs, antidotes, potion et autres compositions médicales.

- Solanum dulcamara…

Annonça-t-elle de sa voix grave et froide.

Communément appelée douce-amère, cet arbrisseau au feuillage bleu – violet et aux minuscules fleurs se dressait devant elle aussi fièrement que possible. En effet, non loin de lui, un magnifique magnolia embaumait l’air de son parfum subtil tout en arborant sa royale floraison, lui volant la vedette.
Le petit arbrisseau se trouvait justement sur sa liste et elle s’en approcha avec lenteur.

C’est un cri étouffé qui vint perturber sa collecte.
Sans attendre, elle courru dans la direction d’où venait l’appel, abandonnant son parchemin, son panier et sa petite paire de tenaille.

Déboulant au détour d’une haie, elle se retrouva face à de nombreuses plantes mais aussi une sorte d’amalgame végétale formant une enveloppe verdâtre. Ses yeux n'y décelèrent aucune présence.
Fort heureusement, l’odorat de Lucy, comme celui de la plus part des félins, était très développé et cela lui permit de situer la personne en danger dans le… Truc.

Sans hésiter, elle sortit son épée de son fourreau et trancha le buisson horizontalement. L’air arriva à l’intérieur en masse. Elle lâcha ensuite la lame pour se précipiter au dessus de ce qui restait de la plante et s’aida d’une dague pour sectionner les derniers liens retenant prisonnière une jeune fille sans connaissance.

- Mademoiselle ?

Questionna-t-elle.

Elle agrippa le bras de l’inconsciente afin de la relever tout en espérant que la chose qu’elle avait découpée ne lui fasse pas de mauvaise blague.

Félicia ne sentit pas le contact sur le sol. Et ce mit soudain a respirer plus librement et toussa pendant 2 bonne minutes. Elle sentit peut a peut le contact froid et humide du sol. Elle entedit un son lointain... comme si elle était isolé... Le bruit ce rapprocha et devint plus fort... MADEMOISELLE??? Félicia ce releva en susaut en poussant un cri étouffé. Elle regarda autour d'elle, soudain appeuré. Elle tremblait comme une feuille. Ses cheveux étaient plaqué sur son crâne. Regardant autour d'elle, elle vit qu'elle était toujours dans le jardin. Psui, quelqu'un la releva et elle s'y aggripa avec la force du déscespoir. Elle vit finalement la personne qui l'avait sauvé.

-Merci... Merci beaucoup, je ne sais pas ce que j'aurai faite sans vous.

Sans plus attendre, elle ce jeta dans les bras de sa sauveuse. La serant fort contre elle pour lui démontrer le plus de recconnaissance possible. Elle s'écarta finalement, gèner de son élan d'amour.

-Pardon... je suis désolé... je...

Elle s'écarta de la femme et continua a bégailler des excuses. Finalement elle ce désida.

-Je... je... me no...nomme... Félicia... et...et...vous?

Elle attendit la réponse.

Lucy acquiesça distraitement devant les remerciements de la jeune personne. Elle avait gardé les yeux posés sur le végétal qui gisait, à présent, sur le sol. C’est pour cela qu’elle ne vit pas arriver l’accolade et qu’elle faillit perdre l’équilibre.
Une fois relâchée, elle posa son regard couleur cognac sur celle qui avait faillit être étouffée, analysant rapidement si elle n’avait pas besoin de soins, et répondit sur ce ton distant qui lui était habituel :

- Ne vous en faite pas, vous êtes toute excusée.

Elle fit un petit geste de la main, confirmant ses paroles, et elle rangea sa dague dans son étui de cuir. Ensuite, elle s’empressa de ramasser l’épée finement ouvragée qu’elle avait laissé tomber et la glissa dans son fourreau.

- Kali Naxos, je suis l’infirmière de cet établissement. Enchantée.

Elle désigna de la main un banc, légèrement à l’écart de toute végétation et enclavé dans les dalles qui constituaient une petite coure.

- Je vous conseil de vous asseoir. Il vous faut reprendre votre souffle calmement où vous risqueriez de faire un malaise.