Mélianéliane et Athénaïs

Miwän etait assise contre un arbre a pensée a sa famille.
Quand tout a coupa elle apercu un phoenix suivit de sa maitresse.
Que faisait -ils dans le coin hiver du jardin ?
Elle leurs dit
"Bonjour c'est si rare de croiser des gens dans cette partie du jardin, la pluspart prefere les autres saisons. Vous etes a l'Academie il me semble ?"

Mélianéliane vit alors la jeune fille qui l'avait surprise.

"Bonjour. Je ne vois pas pourquoi les gens n'aiment pas cette endroit, il est tout à fait extraordinaire. Et puis Arthénaïs se plaît plus ici. Et toi, qui es-tu ?"

Mélianéliane n'aimait pas répondre aux questions et les évitaient le plus possible, en posant des questions à son tour.

[désolé pour le temps de réponse mais j'avais totalement oublié que j'avais posté ici ! ]

" Je ne suis qu'une eleve Je vien d'arriver dans l'academie il n'y a pas si longtemps.
Vous dites qu'Arthénaïs se plait dans la partie hiver du jardin mais c'est etrange pour un phoenix non ?
Je vois a la tete que vous faites que mes questions vous derangent je vais donc m'addapter et essayer de n'en poser que quelques unes.
Je m'appelle Miwän et je vien souvent me recueillir dans cette partie du jardin, c'est si calme: presque personne ne passe."

Miwän était persuader que cette partie avait autant de passage que les autres mais il s'agissait de la premiere personne qu'elle voyait.

*Il me semble que c'est la prof de magie noire mais je ne suis pas sure.*
Alors elle demanda d'un ton de doute.
"Vous etes professeure c'est bien ca ?"

"Non c'est vrai. En realitée, avant j'habitée dans une ferme pres d'un lac, il y faisait froid et il negeait souvent. Si je viens ici, c'est avant tout pour le calme mais aussi parcequ'il me rapelle mes parents."
Miwän sentit une rage l'envahir petit a petit. Parler de ses parents lui faisait toujour le meme effet. Apres tout ce qu'ils lui avaient fait. Apres tout ce qu'elle a subit, elle leurs en veux.
"Ce phoenix est magnifique." dit elle pour changer de sujet. Elle ne voulait plus penser a sa famille, du moins pour l'instant.

Miwän s'etait soudain rendue compte que jamais elle n'avait eu un ami comme Mélianéliane en a un.
Elle dit "non j'ai pas d'amis fidele. Je ne sais meme pas si j'ai des amis.
Je ne connais pas beaucoup de personnes ici. Et j'ai eu une fois un animal, c'etait un chat mais un jour j'ai eu faim, tres faim et je l'ai tué. Alors je n'ai plus jamais eu d'animaux. Je ne veux pas que ca recommence."
Miwän etait maintenant entre la colère et la tristesse.

Miwän sourit aux paroles de la professeure de magie noire.
"Je ne pense pas trouver quelqu'un avec qui je partagerais autant que vous et votre phoenix mais j'espere trouver des amis.
Et c'est vrai qu'il y a des personnes sympa ici, tout ceux que j'ai rencontrait ici sont sympas,"
puis elle ajouta d'une voix presque muette.
"Ou du moins ont en l'air"

Miwän s'etonna
"Qui peut bien nous espionner ? Qu'a vu votre phoenix ?"

Elle etait persuader qu'aux cotés d'un proffesseur d'Etilac, Elle ne risquait rien. Cependant, cela ne l'empechat pas d'avoir un frisson lui parcourant le dos.
Elle regarda alors tout autour d'elles mais ne vit personne. Pas meme une seule brindille bouger.

"Peut-etre s'agit-t-il simplement d'un eleve venu profité du calme de cette partie du jardin." hesita-t-elle.

"Un elfe de votre passé? qu'est-ce que cela signifie ?"
Miwän n'esperait aucune reponse voyant le niveau de concentration de la prof.
Elle etait exitée, la prof voulait tuer un elfe et qui disait mort, disait probablement du sang.
Elle se dit que du sang d'elfe n'etait pas si mauvais, son sang serait bienvenu.
Elle hesitat puis resta a l'ecart. Elle ne voulait pas etre bléssée. Elle pourrait toujour aider la prof si cette derniere etait mal en point.

*Voila un bon entrainement. En plus avec un jolie cadeau, du sang, beaucoup de sang.*

"Si vous avez besoin d'aide n'hesitez pas, je sais mordre." Lanca-t-elle sur un ton entousiaste.

Mélianéliane ne prêta pas vraiment attention à ce que lui disait l'élève, comme elle le pensait, elle était bien trop concentrée.

* Où es-tu ? * Se disait-elle en scrutant le moindre recoin.

Puis elle aperçut une ombre. Elle ne savait pas encore qui c'était. De plus, la nuit commençait à tomber.
Sa vue était de plus en plus claire à présent, elle voyait clairement un Elfe, recroquevillé, essayant de se cacher.

Mélianéliane surgit d'un coup devant lui. Il n'eu rien le temps de dire. Mélianéliane l'avait reconnu, c'était un des ceux qui l'avait attaqués.
Les yeux de Mélianéliane devinrent d'un coup argentés et une lumière se dégagea d'eux, frappant l'Elfe de plein fouet.

Mélianéliane revint alors vers son élève comme si de rien n'était, sans aucune trace de sang.

"Il n'est plus ici. Mais il ne faut pas rester dans les environs, il ne va sûrement pas tarder à revenir, et pas seul qui plus est."

Mélianéliane pouvait tuer les gens rien qu'en les regardants droits dans les yeux, mais là, elle savait qu'il n'était pas mort…

Romanaëlle se baladait tranquillement dans la forêt, sans trop savoir où elle allait car elle ne connaissait pas encore les environs. De plus, elle ne remarquait même pas le changement de température entre chaque partie de la forêt, étant donné qu'elle pouvait contrôler la température au-dessus de sa tête. C'est donc par mégarde qu'elle s'aventura dans la partie hiver de la forêt.

Elle admirait la grande beauté des arbres recouverts de neige. *Tiens, se dit-elle, je ne suis plus en été il semblerait. Je dois m'être enfoncer dans une nouvelle partie de la forêt. * Elle songeait à la magie qui permettait à la forêt de se transformer ainsi losqu'elle entendit des voix. Elle se glissa donc derrière un arbre pour entendre la conversation. La seule chose qu'elle entendit fut une phrase de Mélianéliane à propos de ''quelqu'un'' qui ''n'était plus ici mais qui ne tarderait pas à revenir''

Romanaëlle regarda nerveusement autour d'elle. Elle n'avait jamais rien vécu de terrifiant ou de situations dangereuses. Elle se mit donc à trembler et décida qu'elle ferait mieux de retourner à la ville. *Pourvu que je passe inaperçue, se dit-elle, c'est deux femmes ne m'ont pas l'air très commode.*