Rendez-vous au douzième coup... [privé avec le Rôdeur]

Comme prévue, Albane était là quand le premier coup de gong retentit, et elle attendrait jusqu'à ce que le douzième prenne fin. Pas une minute de plus, pas une de moins. Après, c'était à l'autre d'être à l'heure. Son phénix était à proximité tout en restant caché, quand à elle, elle avait revêtu une petite armure légère et était armé à sa manière préféré: une dague crantée et une épée légère de taille moyenne. Sauf qu'elle avait ajouté à cela deux longue aiguilles un peu plus grosses que la moyenne et une fiole de coagulant spécial. Elle s'était montrer confiante en donnant rendez-vous sur une zone plutôt isolé et ou elle n'était pas à son avantage, mais pas naïve pour autant... Le cinquième coup sonnait désormais.

Le rodeur n'avait pas besoin d'emmener d'arme puisqu'en se transformant, elles apparaissaient sur lui. De toutes façons, il n'avait pas l'intention d'attaquer ou de blesser Albane, mais si celle-ci devenait trop agressive, il avait apporté avec lui une fiole de gaz acide.

Le onzième coup sonna. Pour les quelques secondes qui lui restaient, il se téléporta par fumée noire. En arrivant à la fenêtre d'Albane, la fumée s'écarta légèrement, mais continua d'entourer le rodeur. L'hybride pouvait voir son visage et parfois quelques autres parties de son corps, mais jamais au complet.

N'étant pas encore invité à entré dans la chambre, il flottait dans les airs devant la fenêtre d'Albane. Il était peut être un criminel, il était tout de même respectueux envers les personnes avec qui il avait rendez-vous. Du moins, si c'était un rendez-vous prévu par les deux personnes...

Il était là. Albane ouvrit la fenêtre de sa chambre et sauta sur le toit le plus proche. Puis elle s'approcha du Rôdeur. Elle attrapa rapidement sa main quand elle lui apparue brièvement et l'entraina dans un creux de toit. Une espèce d'abris formé volontairement par elle ne savait qui et qui permettait de voire dans la rue sans être vue. Elle aimait beaucoup cet endroit qui lui permettait de se couper du monde tout en gardant contact avec lui.
Là, elle s'installa sur un coussin qu'elle avait amener quelques temps auparavant et montra à son compagnon un second.
Une fois qu'il fut installer, elle commença à parler.

-Bienvenue à Etilac. Et désolé pour mon agressivité de tout à l'heure, mais je suis sur que tu la comprend. J'aimerais savoir ce qui t'a amener dans le coin.

Albane entraîna Le rodeur dans un coin aménagé. Le métamorphe voyait bien là l'hybride. Elle le convia à s'assoire et il s'installa. Elle lui demanda ce qu'il fesait là. Le vosage toujours dissimulé sous son capuchon, il commança.

Je suis venu à Atlantis pour deux raison : La première parce que le monde d'en haut n'est plus sûr et ensuite, je continurai ma vie normal. Donc, remplir des contrats sur ma spécialité... Bien sûr, cela permettra de découvrir les traîtres habitants la cité.... dit-il calmement.

Il voyait déjà Albane lui sauter à la gorge. La cité manquait déjà d'Habitant en même temps d'en avoir trop et là, lui il débarquait et disait qu'il ferait le ménage selon les désir de lui et de l'autre...

Albane resta un moment silencieuse à scruter la rue. Bien qu'elle semblait avoir baissé sa garde, mais c'était loin d'être le cas. Elle réfléchissait. Pouvait-elle lui faire confiance comme elle l'avait fait à l'époque? Il n'avait visiblement pas changé, contrairement à elle, mais d'un autre coté, il ne l'avait jamais trahit. Finalement, elle reprit la paroles en pesant soigneusement ses mots, comme elle le faisait si souvent quand elle s'apprêtait à dire des choses importante.

-Ecoute, je ne sais pas si quelqu'un a déjà prit contacte avec toi, mais je vais diriger une équipe de l'ombre chargé d'agir de manière discrète. Et tu pourrais nous être utile... ça te t'intéresse?

Albane ne répondit pas tout de suite au métamorphe. Elle regardait la rue et semblait distraite. Pourtant, elle ne baissait pas sa garde. Elle n'avait toujours pas confiance en lui. Ne l'ayant jamais trahit, il ne comprennait pas completement sa réaction.

L'offre est tentante, mais je ne suis pas ici pour faire du social et il n'est pas question que je remplisse un quelconque formulaire ou que je me montre au grand jour. Si tu as un ou une chef, je ne me montrerai pas à lui ou elle. Même si en me présentant je change de forme. De toute façon, ça ne serait pas très utile, puisque je ne suis que rarement de la même forme. Dit-il sèchement.

Le rodeur trouvait étrange qu'Albane sorte de tel nom. Les genssaint l'avaient surement « contaminé». Il eut un mini frisson. Il n'aimait pas les deux noms, mais aait tout de même une préférence.

Disons, le loup de fer... Et nous somme combien de cette charmante «équipe d'Élite» ? demanda-t-il en se penchant vers Albane.

Il ne devait pas y avoir tant d'assassin dans la cité, sinon, la population serait déjà à son plus bas.

L'hybride croyait que le métamorphe se souciait de la vie des autres. Il e se préoccupait que de lui et d'Albane. Elle avait grandit et embellie. Le rodeur n,avait pas d'âge et dès la naissance, il avait été inutile de lui en donner et de la faire suivre.

-Et bien disons qu'il y a ma supérieure, moi en tant que chef d'équipe, et tu en est la première recrue. Pour le reste, je n'ai pas encore trouver de personne de confiance asser puissante pour en faire partie, ou alors, elles ont un autre rôle à jouer... Et je blaguait pour l'histoire des pseudo. Le Rôdeur te va très bien, pas la peine d'en changer.

Elle croisa les main derrière la tête et s'allongea. Elle était plus vulnérable dans cette position, mais pas sans défense pour autant. Elle aurait aimer qu'il retire son "masque" d'ombre, mais elle ne le demanda pas, il ne le ferait que s'il le voulait même si elle lui demandait.

Le rodeur fit soudainement disparaître le nuage noir qui le couvrait. Mais son capuchon lui cachait toujours le visage. Il regarda Albane s'allonger. Il ne pouvait pas lire ses pensées, mais la connaissant depuis un bon moment, il savait qu'elle avait envit de lui demander quelque chose. L'hybride était sur ses gardes. Elle ne lui fesait toujours pas confiance. Mais de toute façon, il s'en foutait un peu.

Il se leva doucement et alla s'accotter au mur près de la tête de la jeune femme.Il se croisa les bras et regarda un peu plus loin, en bas. Il se concentrait cependant sur Albane.

Alors... Tu as quelque chose à me demander? Ne te gêne pas... dit-il sans la regarder.

Albane sourit. Quand eux assassin travaillaient ensembles, ils avaient besoin de comuniquer et parfois, cela leur était impossible oralement, il fallait donc compenser cette gêne par une bonne connaissance de son coéquipier. Visiblement, le Rôdeur n'avait rien perdu de ce qu'il avait apprit à reconnaitre chez elle.

-Je n'ai visiblement pas changer dans mes manières... Pour être franche, j'aimerais bien que tu cesse de te cacher derrière cette buée sombre. Je n'aime pas parler aux gens que je connais quand ceux-ci se cache derrière un masque comme si j'étais une grande menace...