Bal masqué ­[OUVERT]

Afin de rompre la monotonie de l’hiver et redonner un peu de pimpant à tous, certains habitants de la cité avaient eu l’excellente idée d’organiser un grand bal carnavalesque où tout le monde se présenterait déguisé et surtout masqué. Falbala ayant déjà auparavant mis en place le bal de Noël, n’hésita pas à se proposer afin de tout orchestrer une fois de plus. L’idée était simple : des décorations loufoques et des gens déguisés et surtout masqués; aucune barrière physique, aucun rang social visible. Bref, l’occasion rêvée pour rencontrer des gens et s’amuser sans se soucier du quand-dira-t-on.

Falbala avait longtemps réfléchi aux décorations qui devraient prendre place le soir de la fête. Il fallait absolument réussir à créer une ambiance propice aux rencontres et aux rigolades tout en restant sobre et harmonieux. Une atmosphère qui donnerait l’impression que tout peut arriver, voilà ce qu’il fallait!

C’est ainsi qu’elle sélectionna de multiples banderoles torsadées conçues de velours bleu nuit et d’or brillant. Chacune de ces magnifiques banderoles serpentait habilement le long des fenêtres et décoraient somptueusement le plafond. Les lustres s’étaient parés d’or et de cristal. Même si la salle était vide pour le moment, Falbala imaginait déjà les gens masqués tournoyant ici et là, leurs magnifiques costumes se reflétant tel un arc-en-ciel sur les glaçons de cristal qui ornait les immenses lustres. Le plancher de bois nouvellement vernis ne donnait qu’une envie : tournoyer et virevolter partout autour. De multiples fauteuils bleus avaient d’ailleurs été ajoutés en bordure de la salle, pour permettre aux pieds fatigués de se reposer un peu. De plus, quelques arlequins farceurs avaient été engagés afin de mettre un peu de piquant dans la soirée.

Quant au menu, il avait été préparé de longs mois à l’avance avec un qualificatif bien précis en tête : l’exotisme. C’était cette sensation que Falbala souhaitait transmettre plus que tout aux gens présents. La grande table était donc déjà dressée, prête à accueillir les plats chargés de victuailles venues de contrées lointaines.

Finalement, un orchestre composé majoritairement d’instruments à cordes se tenait prêt, déjà en place en ce début d’après-midi. Des mélodies romanesques et voluptueuses berceraient la cour durant la soirée.

Falbala prit enfin place sur un petit tabouret, afin d’admirer le travail accompli. C’était excellent! Elle partit rapidement chez elle afin d’enfiler son costume. La fête pouvait commencer…

[On peut poster finalement ou pas? Parce qu'il est dit dans le flood que Vladimir devait clore le bal de noël avant qu'on puisse commencer celui-ci. Mais vue que ça traine, je crois qu'il seras bientôt impossible de commencer ce nouveau et que tu te seras donner tout ce mal pour rien...]

Din Quichöttá de la Míncí avait fait un long voyage. En fait, un très long voyage. Il était bien déçu de rentrer, mais les nouvelles contrées qu’il avait avidement visitées n’avaient pas su assouvir sa soif de contacts sociaux. En effet, à travers les nombreuses contrées qu’il avait traversées en compagnie de son bon vieux Rossini, Din n’avait su retrouver cette soif de discussion propre à tous les habitants d’Atlantis. Ainsi, la perspective de retrouver la routine bien établie ne l’effrayait pas trop. Il revint par le pont, surgissant soudainement de la lointaine brume, chevauchant lentement au dos de Rossini. Celui gardait le rythme, malgré le fait qu’il soit épuisé par le voyage.

Ils pénétrèrent dans le cœur de la ville, anormalement désert par cette belle soirée. En passant devant le Café chez Falbala, habituellement bondé à cette heure, il fut d’autant plus étonné de voir qu’il était fermé. Din ne comprenait pas trop; mais où était tout le monde? Il mit pied à terre et sécurisa le territoire. Une fois cette formalité accomplie, il laissa Rossini vaquer à ses occupations et entreprit de trouver une âme qui vive. Il s’arrêta un moment, puis écouta attentivement tout bruit suspect. Un silence d’or régnait que seuls le bruit des feuilles dans le vent venait troubler. Cependant, en ouvrant ses oreilles encore plus, il percevait un léger tintement et quelques éclats de rire au loin. Il sut alors qu’il n’y avait plus aucun doute! On n’avait organisé une fête surprise pour fêter son retour! Il se sentit alors ragaillardi, comme si la dernière journée éprouvante s’était soudain envolée derrière lui!

Din se mit alors à recherche frénétiquement la provenance de ces joyeux sons. Il parcourut plusieurs rues, puis ses oreilles guidèrent ses pas vers un endroit étrangement familier : la salle de bal! « Non!, Pensa-t-il, ils n’ont pas vraiment réservé la salle de bal pour moi? Oh! C’est fantastique! » Il s’approcha silencieusement, puis les éclats de rire et les voix devinrent très facilement compréhensibles. Il attendit un moment, puis saisissant le moment opportun, s’élança vers la porte de la salle. Il entra dans un élan théâtral, puis attendit une réaction. Personne ne semblait avoir réalisé sa présence. Il tenta alors un léger : « Eh! Je suis arrivé! », mais personne ne lui répondit.

Réalisant qu’il s’était mépris, Din alla se laisser choir sur une chaise qui bordait la piste de danse.

Cornélie Zagazig avait passé ces derniers mois à se promener à travers Atlantis. Depuis un certain moment, elle avait repérer les endroits où ses mauvais tours suscitaient le plus de réaction. Adorant semer la controverse, la lutine avait multiplier les attaques contre une bibliothèque privée, qu'elle avait déniché au centre même de la ville, caché derrière un batîment de la place centrale.

Ayant pour seul propriétaire un vieillard maussade, la bibliothèque était rangée et classée selon un ordre très strict que personne n'avait le droit de venir bouleverser. Enfin, cela avait été le cas jusqu'à l'arrivée de la jeune friponne. Appréciant par dessous tout embêter les gens méthodiques, la petite lutine s'était d'abord amuser à transformer l'admirable rangement de livre en un fouilli incompréhensible. Puis, peu à peu, ses tours s'étaient élaborés, et elle avait même rajouté des pages d'insultes dans certains livres. Face à cette plaisanterie, la réaction du vieil homme avait été instantanée et il était allé se plaindre au autorité de la ville.

Craignant de se faire mettre en prison, la petite fille avait laissé de côté son nouveau lieu de prédilection et se baladait paisiblement dans la ville, à la recherche d'une nouvelle cible.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle apperçut, au détour d'une ruelle, un homme à califourchon sur son cheval qui se pressait vers un endroit inconnu. Reconnaissant l'homme un peu fou qu'elle appelait son ami, la lutine se précipita à sa suite. Elle l'avait cru disparu à jamais lorsque, un bon matin, elle avait retrouver les portes de son journal closes. Elle avait été déçue de cette trahison mais espérait plus que tout le retour de son hilarant compagnon.

C'est ainsi qu'elle se précipita à sa suite, traversant la ville jusqu'à ce qu'elle se retrouve, comble du bonheur, face à la salle de bal. Cette grande salle était (mis à part la bibliothèque) son endroit favori pour troubler les habitants d'Atlantis. Rendue à l'intérieur du batîment richement décoré, elle fut surprise de la méprise de son compagnon et se mit à rire de son joli rire d'enfant. Elle adorait plus que tout l'air hébété du joyeux homme. Rigolant, la jeune fille s'exclama:

-Bonjour m. Fou!

Din Quíchötta avait le moral au niveau de sa semelle de souliers. Il broyait du noir, tout seul dans son coin, se disant que si ça se trouvait, les gens de la cité n’avait même pas remarqué son départ. Après tout, il devait bien se l’avouer, tout simplement personne ne venait acheter son journal. Les gens montraient vraiment peu d’intérêt face à cette source d’information incroyable et il en était bien déçu. D’ailleurs, les gens montraient vraiment peu d’intérêt face à lui-même. Qui se souciaient vraiment d’un pauvre jeune homme aux allures grotesques et à l’esprit dérangé? Personne. Les gens avaient bien d’autres soucis que le bien-être d’un malheureux cavalier.

C’est sur ces sombres pensées qu’une petite lutine aux yeux immensément grands et mignons comme tout l’apostropha d’une manière peu cavalière. Tout d’abord, Din crut qu’un être méchant se moquait de lui. Il leva timidement les yeux et alentours mais ne vit personne le regardant. Au moment où il allait être convaincu d’avoir imaginer tout cela, il remarqua la présence de celle qui l’avait désigné comme ami au précédent bal. À eux deux, ils semblaient être les seules personnes présentes dont le visage n’était pas recouvert d’un masque. Din observa la lutine. Depuis quelques mois, elle n’avait guère changé, même si elle avait grandi de quelques centimètres. Elle semblait en bonne santé. Din se doutait bien que les mauvais coups avaient dû se multiplier depuis son arrivée dans la cité.

Il lui répondit d’un simple « Hola» qui exprimait bien l’état morose dans lequel il se trouvait. En effet, il ne se forçait même plus pour parler dans un langage compréhensible.

Cornélie, toujours très insouciante, ne remarqua pas le ton désabusé de l’homme nostalgique. Au contraire, en entendant sa forme de salutation plutôt inhabituelle, la lutine se mit à rire et répéta, en chantonnant :

- Hola! Hola! Comment ça va? Je suis une lutine, plutôt coquine, hola! Hola! Hola c’est moi!

Tout en chantant, l’enfant tournait en rond en rigolant. Puis, à la fin de sa chanson, elle était si étourdie qu’elle se retrouva par terre. Pour toutes les personnes dans la salle, ce spectacle aurait suffit à les faire rire ou du moins, sourire. Cornélie était l’image même de l’enfant angélique, délicate et fragile. Seulement l’image, bien entendu. Une fois que sa tête se fut arrêtée de tourner, la lutine regarda un peu autour d’elle. Les magnifiques banderoles de couleurs accrochées ça et là donnaient à la salle une véritable allure de festivité. De plus, la variété de couleur qu’affichaient les masques rendait la salle si colorée qu’elle en était éblouissante. Sans un regard pour son ami qui semblait bien peu enclin à s’amuser, la petite fille se glissa au travers de la foule.

Pour la première fois dans sa vie, ses yeux étaient remplis d’admiration et aucune lueur malicieuse n’était visible dans son regard. Malheureusement, cette joie enfantine fut de bien courte durée car l’esprit farceur de la jeune fille c’était remis en marche. Il ne fallut que quelques minutes à Cornélie pour élaborer son plan.

Il lui faudrait se procurer un masque, déposé sur une table par son possesseur et y mettre du beurre, qu’elle avait déjà repéré sur une grande table de buffet. Après quelques minutes de recherche, elle apperçut enfin ce dont elle avait besoin. Un malheureux danseur avait laissé de côté son masque pour aller se choisir à manger parmi les somptueux plats offerts.

Sans perdre une seconde, la petite fille courut à toute allure à travers la foule jusqu’au masque tant convoité. Rapidement, elle s’en empara et se glissa jusqu’à la table où se trouvait le beurre. Cornélie s’empara d’un couteau et se mit à beurrer allègrement le masque, comme une vulgaire tartine. Tout en s’assurant que personne ne l’avait vu, la lutine se précipita pour remettre le masque là où elle l’avait pris et observa avec délice la réaction du propriétaire malchanceux.

Len Low avait entendu parler du grand bal dès son arrivé et qui dit bal dit fille, il s’était éminemment acheter un masque à la meilleure boutique de toute la ville. Il avait été effaré par toutes les significations de ses objets majestueux. Il avait tout d’abord choisit un masque tout simple rouge et or mais la jeune vendeuse en pamoison lui avait répondu en riant qu’il signifiait que vous alliez fêter vos noce d’or. Il avait réussi de justesse à se sortir de cette situation grâce à un sourire et un de ses fameux regards qui les faisait toutes craquer. Notre charmeur avait dès lors compris la leçon et il se laissa guider dans ses choix.

Son masque fut une pure réussite, le fond bleu couvert d’étoile signifiait qu’il était doux comme un poète, les deux feuilles dorées aux commissures de la bouche indiquait qu’il recherchait quelqu’un. Tout d’abord la charmante et charmée vendeuse lui avait proposé de rajouté quelque touche de rouge qui représentait la force et le courage, les deux petits paons à l’extrémité des yeux avait pour bu d’impressionnée les damoiselles. Puis elle lui avait donné deux fils de soie argenté couvert de lune pour fixer le masque à son visage.

C’est avec se sublime masque qu’il se présenta au bal, il se fondit bien vite dans la foule à la recherche de dames avec des feuilles d’or aux commissures de lèvres, ou non. Il eu quelques de danse mais moins de succès qu’il ne l’avait espéré. C’est alors qu’il dansait avec une du genre qui glousse pour rien qu’il aperçut le buffet, somptueux, débordant de toute part de mets alléchants qui semblaient débordés d’aromes entêtante. Il feignit devoir allez au toilette mais se dirigea plutôt vers le buffet. Notre jeune homme enleva de façon stratégique son masque pour ainsi laisser loisir aux damoiselles d’admirer son visage, il le déposa sur une table non loin de là avant d’aller se servir une généreuse portion de tarte aux pommes et à l’érable. Il l’engloutit avant de se resservir de se délice sucrée, faisant de l’œil à la fille qui s’occupait de servir le champagne il retourna chercher son masque afin de montrer qu’il était venu seul. Dans sa hâte de l’enfiler il ne remarqua pas la pâte blanchâtre et luisante qui recouvrait maintenant l’intérieur de son masque. Il sentit le contact gras du beurre sur son visage en même temps qu’il aperçu une charmante jeune fille qu’il avait aperçu dans l’école entrer dans la salle, ne pouvant maintenant plus enlever son masque sans avoir la peu toute grasse il décida de terminer de le fixer tout en se promettant de trouver le coupable de se coup fendant, surement un des se garçons morts de jalousie. Il avança en grimaçant, la texture du beurre n’était vraiment pas agréable, il retrouva vite son sourire charmeur et s’inclina devant la damoiselle.

- Mademoiselle

Mystra entra dans la salle de bal. Elle n'avait jamais vu autant de couleur de toute sa vie. Malheureusement, son masque n'était pas le plus beau. D'une couleur verte dragonnier. Il reaussait l'éclat de ses yeux verts. Des fils de couleurs ors formaient le contour de ses yeux. Elle ne s'était pas formalisé sur les détails, seulement la simplicité.

Elle regarda autour d'elle. Les banderoles et les gens étaient éblouissant. Regardant sa robe turquoise, elle ce dit qu'elle aurait du choisir une autre tenu. Puis, un haussement d'épaules elle ce dirigea vers le centre de la salle.

Elle vit le buffet et s'approcha. La plupart des mets qui était devant elle lui étaient inconnu. Elle sourit en prenant entre ces doigts, une petite patisserie. Elle y gouta et adora. Puis, elle regarda tout le long de la table. Ne trouvent rien qui lui plaisait, elle ce retourna. Elle arriva face a face avec un miroir. Elle ce vit. Le vert de son masque était superbe avec ses longs cheveux blond dorés. Elle fit un merveilleux sourire a son image.

Elle tourna sur elle même, appréciant ce qu'elle voyait. Elle vit, dans le reflet du miroir, des gens danser. Mystra ne l'avait jamais faite en dehors de l'eau. Elle jeta un regard sirconspect et ses pieds. Comment faisaient-ils pour les faires danser? Perdu dans ces pensées, elle remarqua seulement le jeune homme qui lui avait adressé la parole. Elle ce retourna et vit un jeune homme. Elle lui fit un sourire charmeur et replaça distraitement sa robe.

-Bonjour

Elle attendit la réponse en silence, heureuse que quelqu'un lui est addressé la parole, autre que des filles.

Typhohide cru bon de s'amuser un peu. Elle alla à sa chambre et sortit toutes ses robes et autres vêtements. Elle les étala sur son lit et fit deux pas en arrière. Elle choisi, au bout de trois minutes, une grande robe moulante.

Mais quel masque puis-je mettre...?

Elle regarda un peu dans ses affaire : celui-ci fera l'affaire...

Elle enfila sa robe blanche et mit son masque blanc aux bordure dorées dont deux feuilles aux comissures de la bouche faisaient ressortir encore plus son radieux sourire. Il ressemblait à un visage de phoenix et les plumes pendaient sur le côté et le masque arrêtait à sa bouche : on pouvait donc voir son beau sourir. Puis elle se regarda dans le mirroir : Un habit blanc avec mes cheveux et mes yeux noirs...hihi!!!

Lorsqu'elle arriva dans la salle, elle était un peu gênée...

Il y a plus de monde ici que je n'ai vu dans toutes les autres pièces de cette école. murmura-t-elle.

Elle vit Mystra proche d'un garçon un peu plus loin : elle s'en approcha.

Salut Mystra, bonjours jeune inconnu, nous nous sommes déjà rencontrés? elle lui dévoilà son plus beau sourir sans pour autant lui montrer ses crocs : bon signe pour lui.

Mystra sursauta quand Typhohide lui parla. Elle ce retourna d'un bond et un large sourire hillumina son visage.

-Salut Typhohide! Quel bonheure que tu sois venu!!! Oh! Mais tu es magnifique!

Mystra s'amusa de la robe de Typhohide. Elle était la plus radieuse. Elle était certaine qu'elle était la plus belle de toute la salle. Même si sa robe n'était pas la plus belle. Elle était contente pour son amie. Son bonheure la comblait.

-On dirait que tu es une déesse déscendu du ciel. Je n'ai jamais vu rien d'aussi beau que toi...

Et encore, elle en passait. Elle quittait a contre coeur la robe de Typhohide pour l'inconnu. Elle le détailla durant un instant. Son sourire disparu pour laisser la place a une moue dubitative. Il eu dans l'air un moment d'hésitation. Puis finalement, Mystra sourit.

-Vous aussi vous êtes élégent...eee...

Elle ne savait pas comment il s'appelait. Elle ce tu donc et lanca un regard a Typhohide, dans la même situation de confusion qu'elle. Seulement, elle remarqua la légère étincelle dans le regard de son amie. Elle ce sentit soudain mal a laise.

Devant tous les compliments de Mystra, la peau de Typhohide passa de son tein habituellement blanc-grisâte au gris légèrement rosée. Elle aimait se faire complimenter mais il y a tout de même des limites.

Me dire que je ressemble à une déesse... ET DEVANT UN GARÇON!!!

Elle baissa timidement la tête et regarda le jeune homme en lui envoyant un petit sourir quasiment charmeur. Son ventre émis un grondement bruyant : elle riat tout bas en faisant un sourir nioche...

Je n'ai rien mangé depuis deux jours... dit-elle en se mordillant la lèvre inférieure et en contemplent le buffet.

Bon, je crois que je vais poussé mon côté ange plutôt que vampire vu ce buffet.

Elle saisie une mini soucoupe et y mit quelques fruits aromatiques et un petit pain frais. Elle contempla alors le jeune homme qui se tenait devant elles sans dire un mot depuit quelques minutes...

Len ne put placer mot jusqu’au petit creux de la belle inconnu, décidant de se rattraper sur tout les compliments qu’il n’avait réussi à placer il enchaina.

- Vous êtes toutes les deux des splendeurs mesdames, telles deux déesse venant saluer dans toute leur grandeur un humble serviteur des dames. Oh excusez mon impolitesse, je me nomme Len Low mais je vous en pris, appelez moi Len.

Répondant aux sourires avenants des deux jeunes femmes il leur tendit galamment ses deux bras afin de les amener vers la table du buffet somptueusement dressée. Il examina à la dérobé la somptueuse jeune femme à la robe blanche comme les pics enneigés du nord, sont masque ornée de plumes aux commissures des lèvres en disaient long sur sa personnalité. Essayant d’analyser sa démarche, il devina une fille en quête de quelqu’un, c’était les plus faciles à charmer. Bombant le torse, faisant jouer subtilement ses muscles sous la main de la jeune femme il l’entraina vers le buffet ainsi que sa charmante amie.

- Mesdames, vous voici devant les meilleurs plats que je n’ai jamais mangés!

Notre charmeur se tourna vers la fille à la robe turquoise et lui sourit. Le meilleur moyen d’attirer une femme était d’en regarder une autre. Il fit les yeux doux à Mystra avant de lui dire : « êtes-vous ici depuis longtemps? Mes yeux n’ont pas eu la chance de vous admirer il me semble! »

Cornélie avait observé pendant un bon moment le jeune homme à qui elle avait beurré le masque. Elle avait d’abord apprécié sa blague mais c’était vite lassée étant donné que le prénommé Len Low n’y avait pas donné suite. Bien entendu, la lutine n’aurait jamais abandonné aussi facilement sa proie et c’est pour cette raison qu’elle s'avança tranquillement jusqu’à Typhohide, qui était apparemment la jeune fille qui intéressait l'hominis. Se hissant sur la pointe des pieds, la fillette glissa à l’oreille de la demie vampire, juste assez fort pour que Mystra et Len Low l’entende :

- Si j’étais vous, mademoiselle, je voudrais contempler le visage qui se cache sous le masque de ce bel inconnu. S’il a un aussi joli minois que de muscles et de stature, il sera bien le plus joli gentilhomme que je n’ai jamais rencontré.

Cornélie, qui était encore jeune, ignorait la réaction qu’aurait Len low à son commentaire. Évidemment, le jeune homme pourrait oublier le gras étendu dans son masque et dévoiler son visage, simplement pour pavaner. Une autre option serait qu’il tente de se dérober à l’invitation de la jeune fille en utilisant de subtiles excuses. De toute façon, Cornélie savait que le pauvre garçon devrait tôt ou tard enlever son masque pour manger et elle espérait plus que tout qu’il le fasse avant la fin de la soirée.

Ayant terminé la première tentative de ridiculiser Len, la petite fille s’éloigna et observa la scène en silence, tout en retournant auprès de son ami, le preux chevalier.

Typhohide releva un sourci au commentaire de la petite lutine. Elle regarda Len et l'observa un moment.

Je ne crois pas qu'il est interdit d'enlever un masque lors d'une soiré pour contempler le visage d'un inconnu...

Ou plutôt d'un futur partenaire de danse...enfin...j'espère...

Mais j'aurrais une autre idée...puisque nous...enfin...je crois que certains d'entre nous n'avaient pas prévue de devoir enlever le masque, nous devrions aller à la salle de bain pour se refaire une beauté...qu'en penser vous, Len?

Mystra ce rembruni devant le malaise évident de son amie. Elle ne voulait seulement lui faire plaisir. Puis, son visage vira au gris quand elle lut les pensé de Typhohide. Elle était vraiment la pire des impoté.

Elle prit distraitement le bras que Len lui offrit et lui fit un pale sourire. Ses soulier la faisait souffrire. Elle essaya d'avoir la démarche la mieu approprié mais elle boittait involontairement. Elle sera les dents et essaya d'avoir l'aire... moin bête?...

Elle approcha du buffet, elle s'y accota avec soulagement. Elle redressa la tête et fit un merveilleux sourire pour cacher ses véritables pensées.

-Non, je suis nouvelle...

Elle poussa un cri de rage intérieur. Comment les femmes faisaient pour porter de telle suplice!! Elle regarda Typhohide qui semblait bien ce débrouiller avec ses chaussures.

Elle sourit a la petite lutine. Elle entendit parfaitement ce que elle lui dit a l'oreille. Un large sourire honête alluma son visage pendant une fraction de seconde. Il ce détruit quand elle partit. Elle avait lu ces pensées et la trouvait vraiment intélligente. Une esprit vive et brillante dans un regard attendrissant. Voilà qui était plutôt comique.

Elle cacha son éclat de rire en mordant sa lèvre. La réplique de Typhohide fut une porte de sortit pour Len. Sauf qu'elle ne suivait plus vraiment... Qu'est-ce qu'elle avait faite au masque de Len pour qu'elle veuille tent qui l'enlève. Elle ne comprenait pas.

Mystra haussa les épaules en signes d'indifférence et ce promit d'aller dans la soiré parler avec la petite lutine. Mais pour l'instant, elle ce sentait de trop. Typhohide dévorait litéralement Len des yeux et c'était réciproque. Un autre malaise venait s'ajouter, celui de ses chaussures. Mystra n'avait qu'une seule envie. Celle de jeter ses chaussures a l'autre bout de la salle en espérent que la tête de quelqu'un soit la cible.

Elle ce retint avec une force surhumaine. Elle plongea dans ces pensé. Elle regarda les danseures avec une pointe d'anvie. Elle regarda ses pauvres pieds martirisé et cedit qu'elle pourrait certainement les enlever pour danser... mais elle repoussa cette idée du revert de la main.

Elle soupira de lassitude... Et surtout d'ennui. La soiré allait être longue...

Len sentit son sourire défaillir au dire de la petite lutine, c’était donc elle la petite peste qui avait enduit son masque de beurre, elle allait lui payer tôt ou tard, il faut dire que notre charmant charmeur était très rancunier!

« Je ne crois pas qu'il est interdit d'enlever un masque lors d'une soirée pour contempler le visage d'un inconnu... »

Len ne pouvait enlever son masque sans risquer une ridiculisation en publique, ce qui serait fatale pour sa carrière de dragueur, il devrait alors quitter la ville et ainsi faire honte à ses chères tantes.

- Beuh...en fait c’est dire... balbutia-t-il

Il sauta sur la porte de sortie qui lui proposa Typhohide, s’il allait aux toilettes il pourrait nettoyer son visage et ainsi éviter la honte d’être vu le visage tout luisant.

- Mais quelle bonne idée ma chère, je comprends parfaitement, je vais moi-même me diriger vers les cabinets.

C’est alors qu’il remarqua que l’amie de Typhohide semblait avoir quelque peut de la misère à marcher, n’écoutant que son cœur de preux chevalier, il la prit dans ses bras et la mena jusqu’au toilette s’assurant tout de même que la belle blanche le suive, elle resterait accroché il le sentait, il pouvait donc s’occupé de l’autre sans problème. Il l’assit sur une chaise devant la porte et se pencha pour être à sa hauteur.

- Je reviens, je vous laisse vous préparer, à plus tard lança-t-il au deux amie il effleura tout de même Typhohide pour quelle ne se sente pas en reste.

- Bonjour mademoiselle, dit-il à Félicia le regard langoureux, je m'absente un instant, veuillez m'en excuser!

Il partie vers la gauche puisque les cabinets des hommes étaient à l’opposé de ceux des femmes. Il entra dans la petite pièce non sans avoir jeter un regard mauvais à Cornélie. Ce concentrant maintenant sur sa tâche principale, il s’agenouilla devant la cuve d’eau pour se nettoyer le visage. Il poussa un soupir de soulagement en enlevant son masque, le beurre, devenu chaud commençait à couler dessous. Il plongea la tête dans la bassine faisant bien attention de ne pas mouiller ses cheveux soyeux, après avoir frotté vigoureusement, il tira la serviette vers lui s’épongea le visage et se regarda quelques instant de le miroir pour s’assurer que tout était beau, il nettoya ensuite l’intérieur de son masque avant de le mettre à nouveau sur son visage

( Ici, je vais jouer deux rôles... Je suis désolé si c'est mélangeant mais Félicia devait s'absenter et elle était d'accord pour que je joue son rôle...)Leitha entra en meugréant dans la salle. Félicia qui l'accompagnait avait un sourire émerveillé sur les lèvres. Leitha ne savait vraiment pas comment elle avait pu ce faire convaincre de venir. Une moue attristé ce dessina sur son visage a la pensé de Ion, seule. Elle ce promit de passer le plus de temps avec après cette soiré.

Les couleurs vives et le décor étonnait. Mais pas pour elle. Félicia a son côté jubilait visiblement. Leitha eu un faible sourire a sa folie contagieuse.

Quelques heures plus tôt, Félicia avait été s'acheter une longue robe moulente. Elle l'avait choisit dans les teintes de mauves foncé. Ce qui m'était ses cheveux rose en valeur. Plein de jolies papillons venait dans ses cheveux faire comme de magnifiques bijoux. Seulement, un subtil battement d'ailes sufisait a prouver qu'ils étaient bien vivant. Ses cheveux, laisser lousse pour l'occasion, lui arrivai en bas du dos. Son masque, formait deux grandes ailes de papillon de nuit, ouvert.

Leitha vait choisit quelque chose de mojn voyant. Elle avait mi une longue robe noir, elle aussi moulente. Elle avait un corsage d'entrelac a l'avant. Sa robe, dégageai ses épaules. Ses longs cheveux noirs étaient lousse et tombait en un rideau de nuit. Le pendentif de sa mère, pendait a son coup. Un loup noir était son masque. Le contour des yeux et du masque était en fil argenté.

Les deux filles cherchèrent du regard des personnes connu. Félicia vit Mystra et Typhohide plus loin et la trainait déjà dérrière elle. Leitha aurait donner n,importe quoi pour ne pas être ici. Mais la présence de Typhohide la rassurai. Calmait ses pulsion obscure devant toute cette nourriture offerte... mais Félicia était déjà en traine de parler.

-Bonjour! dit Félicia visiblement ravie. Elle regarda tour a tour les filles, et... le jeune inconnu. Elle donna un furtif coup de coude dans les côtes de Leitha. Qui celle ci, grogna faiblement.

-Bonjour... reprit-elle pour encourager la conversation.

-Vous êtes ici depuis longtemps? demanda innocament Félicia pour briser le silence oppressant. Voici Leitha et moi je suis Félicia. Mais vous pouvez m'appeler Félie.

Félicia fit un radieu sourire a l'inconnu. Discraitement, Leitha s'éloigna du groupe de convers et partit en direction des tables. Elle regarda ls plats qui s'offrait devant elle. Sincèrement, aucun n'arrivait a la cheville du sang frai. Elle regarda d'un air dégoûté quelque plat. Un en particulier attira son attention. Elle ce pencha pour l'examiner. Une mèche de cheveux tomba devant ses yeux. Elle fit un geste sec et repoussa la couette. Dévoilant son oreille pointu caractéristique aux elfes.

Félicia venait de luoi prendre le bras de la relever. Leitha chancela sous le choc et croisa le regard furibon de Félicia. Leitha haussa les épaules et roula les yeux en signe de réponse.

-Alors Typhohide, belle soiré en perscpetive? demanda innocament Leitha. Elle ne voulait pas vraiment le savoir, seulement, la politesse l'obligeai. Le regard de l'incconu ce tourna vers elle. Elle su d'insctin quel genre d'homme s'était. Elle le jugea un instant du regard et détrouna les yeux. Dégouté.

Félicia, elle, était totalement hypnotiser par l'homme. Leitha en était dégouté. Elle ce croisa les bras et attendit que le reste de la soiré ce passe autant moche qu'il était commencé.

Typhohide entraina avec elle Mystra dans la salle de bain. Elle enleva son masque et se pencha pour s'asperger le visage tout en faisant attention de ne pas se mouiller les cheveux puis replassa délicatement son masque.

Je crois que ça devrais aller...dit-elle en interogeant Mystra du regard.

Elle retourna à l'extérieur de la salle de bain pour attendre le jeune homme...

(oups... pardon d'avoir brisé vos plan...)

( Bien non!! Tu n'as rien brisé rassure toi... Sa la juste mal addonné )

Mystra était contente de voir Leitha et Félicia. Quand soudain. Len la souleva. Elle émit un cri étouffé et sourit a celui ci. Lorsqu'il la déposa, elle le remercia d'un regard.

-Bonjour les filles!!!

Elle ne put pas en dire plus que déjà, Typhohide la trainait dans les salles de bain. Elle regarda Typhohide ce rincer la figure. Elle, décida d'enlever ces chaussures quelque seconde.

Un soupir de bien être s'échapa de ses lèvres.

-Comment fais-tu pour porter ce genre de soulier?

Elle regarda sa chaussure et le contoir. Elle frappa le talon et brisa le talons. Elle regarda le résulta et sourit. Elle fit la même chose pour l'autre. Elle les mit dans ses pieds et approva. Voilà qui était mieu.

Elle sourit a la question de Typhohide, qui n'en était pas vraiment une mais tout de même. Elle sortit et alla retrouver les filles. Mystra s'approcha de Félicia et commenca a lui parler.

Masi son regard fut attiré par Leitha qui cherchait du regard sur le buffet, quelque chose a manger. Elle s'excusa distraitement aux deux filles qui attendait le jeune homme et alla retrouver Leitha.

Celle ci semblait vraiment dégoûté devant les plats divers. Elle lut dans ses pensées et su que rien n'allait lui plaire. Quand celle ci ce pencha. Elle vit avec un mélange d'horreur, de suprise et de curieusité, l'oreille de Leitha. Elle mit involontairement une main sur son oreille. Puis, elle regarda Typhohide. Malgré la distance et ses cheveux, elle remarqua les mêmes oreilles.

Les caractéristiques physiques des deux filles la frappa comme une éclairs. Les même cheveux noirs, les même yeux noirs... Elle regarda Typhohide et Leitha a tour de rôle. Ne sachant quoi dire...

Matchi était anxieuse à l'idée d'aller au bal. En effet, la dérnière fois qu'elle était allée à l'un d'eux, elle avait du s'interposer endre Sinéa et un étrange lutin, ce qui ne lui avait pas laissé un souvenir plus agréable que cela ... Elle avait choisi pour l'occasion une robe qu'elle avait portée dans une occasion simillaire il y avait de ça deux ans, peu avant d'être rejettée de sa ville, seulement une dizaine de jours avant la mort de son père adoptif. Cette robe était d'une élégance rare, d'un noir profond aux reflets bleutés, le haut de la robe était monté à l'image d'un corset dont les armatures affinnaient encore plus la taille de la nymphe déjà très fine et mettait en valleur la poitrine parfaitement déssinée par le biais d'un décolté juste assez plongeant pour que la descence soit respectée, le tout bordé de broderies dorées. Le bas, était long et légèrement plissé et bordé de même que le haut ainsi qu'élégament fendu jusqu'au haut de la cuisse, laissant apparraitre ses longues jambes fines et au tein pâle. Ses cheveux longs et lisses lachés elle ne pris pas la peine de rajoutter quoi que ce soit dedan. Elle atrappa ses souliers à talon haut et parti en direction de la salle de bal.

Arrivée à l'entrée de la salle dont elle entendait la musique et les divers bruits, rires etc ... depuis quelques rues déjà, elle mis son masque, noir et bordé de la même manière que la robe, avec de nombreux méandres au niveau du haut des joues, où s'arrètait celui-ci, laissant voire son sourir. Elle dépassa la porte et sentit une vague de chaleur et une soudaine emplification du son. Regardant à droite comme à gauche, elle n'apperçu personne qu'elle connaissait et traverça la salle en direction du buffet, sous le regard de tous les hommes qu'elle croisait, son aura de nymphe étant absolument incontrôlable et toujours présent, ce qui la fit légèrement rougir. Hereusement qu'il y a le masque pença-t-elle.

Mystra sur le coup de sa découverte, décida de rester calme. elle s'éloigna donc des filles en quête d'autre chose. Elle s'approcha des chaises et ce laissa choir deçu.

Elle ne savait pas pourquoi mais cette brève découverte la laissait déboussolé. Elle regardait ses pieds sans vraiment les voirs. Perdu dans ses pensés.

Cela venait de lui prouver qu'elle ne connaissait rien a cet univers. Peut être devait elle retourner dans l'océan? Peut être devrait-elle partir?

Elle releva la tête et regarda les personnes présentes, la plupar semblait s'amuser. Riant a gorge déployé et gloussant. Elle ce senti étrangement seule. Elle regarda vers la porte et vit une autre personne entré. Elle aussi était ravissante. Sa robe au couleur d'un noir profond aux reflets bleutés. Les hommes ce retournaient sur son passage.

Elle soupira de lassitude. Elle devrait peut être partir... D'ici et de cette soiré. Elle ne trouvait pas vraiment que sa robe soit frappante. Lorsqu'elle était arrivé, peut de gens l'avait remarqué. Elle n'en était pas vraiment triste, le bonheur des autres faisait le sien. Mais la pensé d'être seule, était insuportable. Elle l'avait été une fois et avait faillit être tué.

A chaque fois qu'elle ce retrouvait seule, la pensé d'être attaqué la hantait. Les humains l'avaient paralysé de peur pour le reste de ses jours. Même si elle savait qu'ici il n'y en avaient pas, s'était plus fort qu'elle.

Elle reporta son regard sur la belle inconnue qui venait d'entré, mais ne la repérait déjà plus dans la foule. Elle vit une autre silhouette ce découper dans l'entré. Il était impossible a manquer. Kali entra dans la salle. Comme un rayon de soleil qui perçe les nuages. Elle la trouvait vraiment jolie. De toute évidence, c,était devenu un défiller de mode. Elle faisait presque pitié avec sa petite robe courte, en haut des genoux, turquoise, qu'elle portait. Mais même si elle n,était pas la plus belle, c'était un cadeau de Typhohide et elle en prendrait soin comme si c'était la prunelle de ses yeux.

La Khajit ce dirigea vers le fond de la salle. Elle la suivit du regard, jusqu'a ce qu'elle la perde de vue. Elle soupira et baissa les yeux. Elle entoura ses bras contre son corps et ce sentit très seule malgré les gens dans la salle.

Plusieurs minutes passèrent sans que Len ne se pointe, elle choisit donc de retourner avec Mystra. Elle pu lire la tristesse dans ses yeux. Elle s'approcha d'elle et l'enlaça.

Ça n'a pas l'air d'aller... veux-tu aller danser?

En effet, une ''danse en ligne'' venait d'être annoncée, les musiciens jouaient une chanson rapide, avec entrain et force, elle réussi enfin à trainner Mystra sur la piste et s'éfforça de lui montrer les pas avec amusement : elle n'avait jamais montrée à quelqu'un à danser...

Azazelle n'avait pas fait dans la finesse pour ce qui était de sa "tenue de Bal". En effet, pour toute robe de soirée, elle avait simplement pris l'une de ses nombreuses armues. Elle avait choisi pour l'occasion la tenue de parade que portait l'ancienne garde rapprochée de celle qui s'était jadis faite appeller la "Reine Eternelle". L'armure consistait en un plastron ajusté tel un corset, réhaussant ses formes, les bras étaient pris dans de longs gants en plate remonttants jusqu'au coude et sur ses épaules étaient fixées deux magistrales épaulettes finement ciselées. De longues jambières étaient visibles par les fentes qu'offrait la robe en soie d'un blanc éclattant faisant parraitre l'armure argentée encore plus irréelle. De grandes frèsques compliquées faites de symboles elfiques en fil de soie noir parcourraient l'intégralité du costume et en tant que "masque" elle portait le casque de parade, taillé à la grèque, ne laissant apparraitre qu'une fente en forme de T travaillé de main d'orfèvre, avec deux grandes ailes montantes entre lesquelles partait une longue natte faite de crin de pégaze noir descendant jusqu'en bas du dos.

Elle récupéra en passant une épée longue parmis sa collection avec une lame fine et équilibrée qu'elle plaça à son flan gauche. Rien ne pourrait lui faire s'en servir mais comme elle ne sortait jamais sans armes et que son costume était incomplet sans l'épée ...

Au moment où elle franchit les portes de la salle de bal, elle ressera machinalement sa main gauche sur le pommeau de son épée. Une légère rumeur parcourru la pièce au vue d'une personne armée en ces lieux mais celà ne troubla en rien à la quiétude de la fête. Elle devait passer pour une originale, ce qui l'arrangeait. Son regard parcourru rapidement la pièce à la recherche de quelque enseignant ou membre du personnel en vain. Elle commençait à en conclure qu'elle avait du commetre une erreur lorsqu'elle apperçu l'infirmière du côté du buffet et entrepris donc de la rejoindre. Arrivée à quelques mètres de celle-ci, elle leva son casque qu'elle calla sous le bras droit, pris l'une des flûtes d'un nectar pétillant dont l'odeur lui parrut des plus agréable.

Bonsoir. Belle soirée, n'est-ce pas ? Je ne crois pas que nous ayont déjà étées présentées. Je suis Azazelle Zacharias, la nouvelle enseignante pour les cours de combat. Je suppose que vous devez être Kali Naxos, l'infirmière ? Elle lui adressa un grand sourir et leva sa coupe pour montrer qu'elle voullait trinquer avec elle à sa santé. J'éspère que ça lui permetra de m'avoir à la bonne et de ne pas trop m'en voulloir si je lui renvoie quelques élèves en un état assez limite ...

Len avait effectivement calculé pile le temps qui laisserait attendre ses deux damoiselles. Il observa de sa cachette Typhohide le chercher dans la foule, s’il réapparaissait tout de suite il aurait l’air de s’accrocher, et c’était la pire des choses à faire, sinon la fille voulait s’engager et se n’était plus marrant du tout. Il la regarda donc faire des allez retour comme une lionne en cage. Il adorait voir les filles l’attendre...impatiemment, c’était toujours flatteurs de les voir se pâmer devant un pur inconnu.

La laissant languir un instant il partit vers une autre conquête, il avait en effet remarqué une ravissante jeune fille qu’il avait aperçue quelque fois au marché. Rousse flamboyante, ses cheveux bouclés tombaient sur ses hanches graciles, il regarda leurs mouvements hypnotisant un instant avant d’aller l’aborder. En roulant les épaules de façon avantageuse il lui fit une magnifique démonstration de tout le charme qui émanait de son corps. Elle resta tout de même sur ses gardes bien que flatté par l’attention que l’apollon lui portait, il prit congé de la demoiselle non sans lui jeter un regard langoureux, la soirée devenait intéressante et un flot régulier de personnes entrait par les portes.

Regardant Thyphohide qui ne semblait pas l’avoir remarquer, il fit le tour de la salle et l’attrapa par les hanches alors qu’elle abordait Mystra.

- Une danse? Lui souffla-t-il à l’oreille

Il s’excusa auprès de Mystra et entraina sa cavalière vers la piste où déjà plusieurs personnes se trémoussaient.

Au moment où les mains de Len entrèrent en contact avec les hanche de Typhohide, cette dernière sursauta. Elle le regarda les yeux pétillant de curiosité.

Est-tu bon danseur? Lui dit-elle en suivant le rythme enjoué que les musiciens interprétaient.

Puis, tout se calma. Le rythme rapide se transforma rapidement en une valse. Elle plaça ses mains aux bons endroits et plongea son regard noir dans les yeux de l'hominis.

Voyons ce que tu vaux. lui dit-elle à l'oreille.

Il suivait très bien les pas et n'en manquait aucun, du moin, pour l'instant. Elle trouvait bien étrange que quelqu'un lui est ouvert les bras aussi rapidement : même ses amis dégageaient encore un peu de méfiance.

j'espère seulement ne pas être blessée une fois de plus, ce moment veut dire tant pour moi... pensa-t-elle

Mystra fit un pale sourire à Typhohide. Ce qui fit que l'inquiéter d'avantage. Elle sursauta quand Typhohide la pris dans ses bras. Jamais, elle n'avait eu de contact... corporel avec une autre personne. Encore moin avec un vampire ange noir.

Quelque peut réconforté, elle lui fit un sourire reconnaissant, qui disparu bien vite pour ce muter en étonnement face à une dance.

-Non, je ne sais pas dansééééééééé!!!!!!!.....

Elle n'avait pas finit sa phrase que déjà, Typhohide la trainait vers la piste de danse où les gens dansaient en riant. Prise de gêne, elle éclata de rire pour ces premiers pas. Son rire était cristalin et pur, comme une eau de source. Elle aurait fait palir de jalousie la plus belle des nixes.

Elle jeta un regard au alentour, elle vit Leitha qui était à côté de Félicia qui attendait le jeune homme, Leitha ne semblait pas satisfaite de la soirée. Elle regarda Typhohide et lui sourit. Elle vit une ombre ce glisser vers elle. Soudain, la perspective qu'un humain vienne ici lui fis l'effet d'une vague froide courrait le long de son échine. Puis, elle vit le visage de Len et soupira de soulagement. Lorsqu'il prit les hanches de Typhohide, elle sentit la jeune fille sursauté.

Len s'excusa mais elle lui fit un clin d'œil qu'elle comprenait très bien... Enfin, elle croyait. Elle n'avait jamais vu ce qui venait ce cettre passé. Mais elle haussa les épaules en signe d'indiférence et quitta la piste de dance. Elle ce dirigea vers le banc où elle était assise un peut plus tôt.

Elle fit un bref tour de la salle, pour voir si elle connaissait quelqu'un. Elle vit la petite lutine et un sourire enfantin étira ses lèvres. D'un pas légé et en trotinant. Elle vit au même moment, un homme assise sur un banc qui bordait la piste de danse, qui avait l'air triste. Son sourire disparu, il lui semblait que sa soiré venait d'être gâché. Elle s'aprocha timidement et s'assis à côté de lui.

-Bonjour, dit elle timidement, je me nomme Mystra. Je ne vous dérenge pas j'èspère? C'est seulement que vous avez l'air si triste...

Elle ne voulait pas que quelqu'un, en cette si belle soiré, ai l'aire triste Elle ne savait pas pourquoi, mais s'était comme cela.

Din Quichöttá n’avait pas bougé d’un pouce depuis le départ de la lutine. En fait le départ de celle-ci l’avait encore plus contrarié. On se moquait décidément toujours de lui. Il ne pouvait ni marcher, ni parler, ni exister sans que quelqu’un lui lance un drôle d’air! Quelle idée avait-il eu de revenir dans cette foutue cité remplie de gens hautains ne se souciant que d’eux-mêmes? S’en était pathétique.

Il en était rendu à se demander si toute cette malencontreuse histoire n’était en fait qu’un cauchemar lorsqu’une jeune dame vient s’asseoir près de lui. En la voyant approcher, Din eut une sorte de mouvement de recul. Peut-être voulait-elle réquisitionner la chaise où il se tenait? Ou simplement voulait-elle qu’il se déplace car il enlaidissait le paysage? Ainsi, lorsque la dame lui adressa la parole d’un ton tout sauf méchant, il fut bien étonné. Comment une belle personne comme elle pouvait-elle l’avoir remarqué, lui pauvre chevalier errant, parmi tous ces beaux habitants? Toujours étonné, Din s’examina un peu, juste pour être sûr qu’elle ne voulait pas lui souligner le fait qu’il ait une belette sur la tête. Lorsqu’il fut sûr de n’avoir aucun animal sur lui, Din Quíchöttá reporta son attention sur les paroles de la jeune femme.

Mystra a écrit:

-Bonjour, dit elle timidement, je me nomme Mystra. Je ne vous dérenge pas j'èspère? C'est seulement que vous avez l'air si triste...

Din était quelque peu décontenancé. À vrai dire, il croyait qu’aux yeux des autres, il passait pour un digne chevalier perdu dans ses pensées. Aux dires de la jeune femme, il faisait plutôt pitié. Lui, Din Quíchöttá de la Míncí, faire pitié?! Il était déprimé, mais pas rendu à ce point. Si une chose irritait Din, c’était bien celle-là. Faire pitié! Les lâches, les faibles font pitié! Mais pas un chevalier errant de son envergure! Ah la la.

Tâchant de reprendre contenance et tout en mettant le plus de dignité possible dans sa voix, Din répondit d’un ton bourru tout en se redressant sur sa chaise : « Voyez-vous mademoiselle, un chevalier errant n’est jamais triste. En effet, la profession l’interdit. Et pour tout vous dire, je ne suis pas triste, simplement comme qui-dirait, perdu dans mes pensées, voilà tout! Il m’arrive parfois de retomber dans une profonde mélancolie en songeant à mes anciennes quêtes et conquêtes. La vue de toutes ces belles personnes me rappelle nombreux bals et soirées des temps anciens.. »

Il espérait que ses paroles aient un effet sur son auditoire.

Mystra ce senti mal de l'avoir contrarié. Elle n'avait pas voulu, et surtout, elle ne le prenait pas par pitié! Voyons, jamais elle n'aurai cela, elle trouvait juste cela triste pour lui, d'être ce cette humeur lors d'une fête. Pour elle, c'était la première fois qu'elle assistait a ce genre de soirée. Elle ne savait pas que des gens pouvaient être tristes pendant cette cérémonie. La tête baissé de honte, elle murmura:

-Je suis désolé, je... je ne voulais pas vous vexer...

Elle allait partir quand les propos de l'homme la fire s'immobiliser. Elle le regarda avec une curiosité grandissante.

-À oui?! J'aimerai beaucoup entendre de ces quêtes et conquêtes. Les bals anciens aussi, je ne connais en faite, pas beaucoup
de choses.

Alors, elle venait de rencontrer un chevalier errant. Jamais elle n'en avait entendu parlé. Prise de confusion, elle ce senti la pire des idiotes. Elle ne connaissait rien à par l'océans... Et encore, elle était tellement vaste, qu'elle n'en connaissait que le quart.

-Eh, pardonnez mon ignorance, mais qu'est-ce un chevalier, et errant?

Elle rougit violemment.

-Pardon, je... je vais vous laisser à vos pensé, je crois que ce sera mieux, je vous dérange, enchanté d'avoir faite votre
connaissance.

Mystra ce releva avec la ferme intention de quitter cette soirée.

Lucy trempait ses lèvres dans son verre.

Il était clair et net que la personne qu’elle attendait ne viendrait pas. Cela aurait pu la mettre dans tous ses états, mais elle resta impassible. Il se pouvait qu’elle ait été retardée, dans ce cas, elle arriverait plus tard dans la soirée ou avec quelques jours de retard. Mais si jamais elle restait sans nouvelle jusqu’à la fin de semaine, cela signifierait que les problèmes ne feraient que commencer.

La khajit finit par arrêter de se poser des questions et de s’inquiéter. Aujourd’hui, c’était la fête et elle ferait mieux de se détendre et d’en profiter un peu.
Alors qu’elle avait établit cette conclusion, une jeune femme arriva, parée d’un vêtement bien original pour un bal mais d’un bel effet.

Elle écouta en observant Azazelle – car tel était son prénom – avec son air habituelle de profonde indifférence.

- Bonsoir. En effet, c’est bien moi.

Dit-elle d’une voix rauque avant de faire un geste léger avec sa coupe.

- Enchantée de rencontrer le professeur qui va probablement doubler mes visites médicales.

Continua-t-elle avec un voile d’ironie dans sa voix comme si cela lui importait peu.

Albane arriva en retard, comme pour la plupart des balles auxquels elle allait. Elle avait opter pour un magnifique robe verte qui mettait ses yeux et ses formes en valeur, révélant juste ce qu'il fallait de ses rondeur pour attirer l'oeil sans pour autant choquer.
Quand à son masque, il cachait habillement son visage, laissant tout juste ses lèvres voluptueuse visible, plus pour lui permettre de profiter du buffet qu'autre chose. Le tout révélait une grande partie d'elle même mais la laissait méconnaissable.
Elle espérait sincèrement trouver pour une fois un compagnon de danse, ce qui était plutôt rare à Etilac, dont la majorité de la population semblait féminine, et cela pour une raison inconnue.
Apercevant Kali en compagnie d'Azazelle, elle s'approcha d'elles, se demandant si sa tenue serait efficace pour la dissimuler à la reconnaissance des autres...

-Bonjours Kali! Bonjours Azazelle!

Notre sublime ami fit tournoyer encore et encore sa cavalière ses muscles saillant la dirigeant avec grâce, on aurait pu croire deux anges dansant dans les cieux. Ils étaient tout simplement sublimes, sentant tous les regards tournés vers lui, il en faisait des tonnes, lançant des regards insistant sur sa cavalière suivant ses courbes harmonieuses. Il vit soudain sa belle rousse approché de l’attroupement qui s’était formé autour d’eux, évitant diplomatiquement de gros ennuis il conclu la danse en faisant cambrer élégamment le corps de sa cavalière vers l’arrière. Il l’entraina à l’écart avant de s’incliner et de lui baiser la main.

- Ce fut un plaisir, murmura-t-il, un pur plaisir

Il s’éloigna tranquillement et replongea dans la foule, laissant se souvenir surement impérissable murir dans la tête de sa jeune amie.

Ayant repéré Mystra non loin parlant à un homme un peu dérangé il décida de s’occupé plus d’elle la trouvant bien mignonne dans sa robe turquoise qui avantageait ses formes parfaites. S’inclinant bien bas devant elle sachant que ce ne serait peut-être pas une bonne idée de la prendre par les hanches comme ça sans préliminaires.

- Est-ce que vous accorderiez une danse à un homme qui vous trouve sublime?

Il se redressa la dépassant d’une tête environ et passa sa main dans ses cheveux de façon à paraitre un peu gêner. Tout était calculé logiquement elle devrait accepter, il lança un bref coup d’œil et vu la fameuse rousse sortir de la salle, bien un problème éviter la soirée était jusqu’alors bien fructueuse!

Ils avaient dansé pendant un long moment. Lorsque Len Low lui dit au revoir, elle lui fit un sourir radieux. Mais lorsqu'elle le vit s'approcher de Mystra, elle tendit l'oreille : elle ne connaissait pas Len et elle ne savais pas vraiment qui il était et si il allait dire quelque chose de blessant. Mais lorsqu'il lui dit qui la trouvait sublime, chose qu'il avait dit à Typhohide pendant la danse, elle fut profondement blessé. Comme un pieux dans le coeur : ce qui pourrait la tuer puisqu'elle est un mi-vampir mi-etc... Ele alla s'assoir près du banc à côté du banquet, près de la où étaient accotées Leitha et Félicia. Elle laissa des larmes glacées couler silencieusement sur ses joues.

Mais pourquoi me font-il toujours ça? murmura-t-elle.

Matchi avançait en direction du buffet avec la ferme intention de trouver dessuite de quoi se rafraichir. En effet, elle avait pu remarquer que, faute d'être accompagnée d'un charmant jeune homme, une jeune femme semblait moins faire la potiche avec au moins un rafraichissement dans les mains. Elle pris une coupe parmis les premières assez proches d'elle puis se retourna. C'est alors qu'elle apperçu cette jeune hybride qu'elle avait rencontré au cours de combat. Ne se souvenant plus de son nom, elle pris une deuxième coupe, s'aprocha d'elle, s'accroupit pour se mettre à son niveau et lui tendis d'un même jeste la coupe ainsi qu'un mouchoir.

Il serrait dommage de perdre son temps à pleurer par une si belle soirée lança-t-elle d'une voix douce. Y a-t-il autre chose que je puisse faire pour t'aider à retrouver le moral, en plus de cette coupe et de ce mouchoir ?

Face à l'indiférence de l'infirmière, Azazelle se dit qu'il ne servait à rien de continuer à feindre l'amusement avec une personne qu'elle n'aprécirai probablement pas, vu son manque de savoir vivre. Elle lui lança un de ses habituels regards froid et impérial, ne laissant parraitre que le mépris.

"Plaies, bosses, foulures, probables fractures, possibilité d'empoisonnements légers, traumatismes, brûlures, engellures, folie, furie, noyades légères, et toutes sortes de contusions et autres maux risquent de vous parvenir, ainsi n'en soyez pas étonnée." lança-t-elle sèchement à son interlocutrice avec une voix ferme et grave. Vous penssiez peut-être avoir affaire à une gamine qui aurrait fait jouer ses petits camarades à la bagare avec des armes en bois ? Désolée de vous décevoire. Les armes que nous utilisons et utiliserons dans mon cours sont et resterons bien réelles. Sachez que je ne suis pas aussi délicate que je le laisse parraitre.

Elle avait porté ses yeux sanguin dans ceux de la khajit et, seul l'arrivée d'Albane lui fit les détourner. Son regard restait sévère quand elle regarda la jeune femme dont elle reconu l'identité de pars son regard toujours aussi impénétrable. Aucun doute possible car elle avait si longtemps harborré elle même une telle attitude qu'elle en connaissait à présent tous les secrets.

Bonsoir Albane. Belle soirée n'est-ce pas ? dit-elle en faisant son possible pour retrouver un air moins hostile.

Mystra regardait Typhohide et Len danser, elle les trouvait admirblement beaux, tout les deux, ensemble. Puis soudain, le charme ce brisa, elle vit Len ce diriger vers elle et entendit les pensées de Typhohide. Elle s'attrista.

Quand Len s'approcha pour lui demander a danser, Mystra ne savait quoi répondre. D'un côté, elle savait que Typhohide avait un faible pour l'inconnu, de l'autre elle ne savait pas danser, Typhohide lui avait montré quelque pas de danse, mais rien avec la valse et puis le chevalier avec qui elle était semblait si triste... Elle regardait de tout côté, recherchant du renfort.

-C'est que...Elle commenca sa phrase et arrêta en plein milieu, gêné a l'idée de dévoilé qu'elle ne savait pas danser.

Puis elle ce lanca et releva fièrement le menton.

-C'est que je ne sais pas danser et en plus Typhohide semble meilleure que moi et il y a bien plus de jolies jeunes filles qui rêvent de danser avc vous Len, elle pointa du doigt vers un attroupement de jeune fille totalement subjugé par la beauté de Len. Elle eu un vague sourire en sentant que Typhohide brulait entirère pour lui.

-Je suis vraiment désolé, Typhohide a bien essayer de m'aider mais je ne comprend rien a tous ces pas. J'ai bien peur de vous faire plus de mal que nécessaire. Dit elle en riant.

Elle fit un sourire rassurant a Len, espérant qu'il aye retrouver Typhohide au plus vite, elle préfèrait voir le bonheure de l'ange noir mi vampire passé avant le sien. Mystra souffrait car la peine de Typhohide était immense. Et encore plus la pensé que c'était a cause de son hybridité. Elle la trouvait la plus jolie hybride qu'elle n'avait jamais vue.

Leitha délaissa le buffet et Félicia qui faisait les yeux doux a un autre homme et marcha dans la salle. Elle regarda la décoration, elle vit Typhohide et Mystra, aussi les deux autres filles de son cour de combat et l'enseignante.

Elle marcha et regarda le haut plafond, les gens dansaient mais elle semblait que le temps s'était arrêté. Elle marcha et ses pas la menèrent dans les coulisses. Elle regarda autour d'elle et ce demanda si elle avait le droit d'être ici. En marchant, elle vit de nombreux miroirs. Elle marcha jusqu'a eux et soupira en ne voyant pas son reflet. Jamais elle ne s'était vu. Jamais elle ne s'était demander a quoi elle ressemblait. Elle pourrait avoir un gros bouton sur le nez que jamais elle ne l'aurai remarqué. Elle devint invisible et visible mais rien n'apparaissait sur la surface lisse du mirroir.

Elle baissa la tête et une larme roula sur sa joue. Elle ne verai donc jamais a quoi elle ressemblait.

-Pourquoi la vie est-elle si compliqué? Pourquoi ne suis-je pas comme Typhohide, mi ange, mi vampire?... La vie serait tellement plus facile. Murmura t-elle.

Elle pleura en silence, elle devint invisible et regarda ce qu'elle aurai pu être. Elle imagina une robe noir, des bras fin et pâle, et des cheveux noir mais seulement au niveau des épaules car en hauts, elle ne pouvait qu'imaginé. Elle abandonna toute espoires et resta planté la.

Elle chercha des moyens de pouvoirs ce regarder, elle mit de côté les mirroir, dans l'eau, elle ne voyait jamais car le soir, l'eau était trop foncé. Elle était totalement perdu dans ses pensées.

Elle regarda Matchi avec un regard des plus déchirant, puis se ressesit.

Merci... se força-t-elle de dire avec un légé sourir en prnant la coupe de la main droite. Nous alons au même cours de combat, n'est ce pas?Tu te débrouille bien, même si tu dit que tu est débutante.

Elle regardait Matchi avec ses yeux soudainement bleu marin. Elle n'avait jamais eu les yeux comme ça dans toute sa vie, et, la couleur de ses yeux allait toujours avec ses humeurs.

Albane compris qu'elle était arrivé au mauvais moment. Mais il était trop tard. Sans rien laisser paraitre de sa déception, elle répondit à Azazelle. La femme/enfant lui semblait très sympathique et elle espérait pouvoir se lier d'amitié avec elle.

-C'est vrai que la soirée est remarquable. Il faut dire que nous avons une organisatrice et décoratrice hors paire. Et un fin danseur pour mettre de l'ambiance pour une fois. Dommage qu'il soit le seul. Vous avez surement remarquer que la population du coin est principalement composer de personne de la gent féminine. Je n'avait pourtant jusque là jamais entendu dire que la magie était principalement présente dans cette catégorie de la population et moins dans l'autre...

En parlant, elle regarda le séducteur, reconnaissant en lui beaucoup des tactiques qu'elle se refusait désormais à utiliser. Ca lui rappelait trop son passé.