Bal masqué ­[OUVERT]

La porte menant aux coulisses, près de la scène, se renversa soudain en un vacarme. De l'obscurité en sortit un phénix de petite taille par rapport a la moyenne. Celui-ci s'envola tranquillement au dessus des têtes et se posa sur le lustre central sans bruit. Puis, une femme qui semblait bien être une 'sucube' fit un pas dans la salle :

Les yeux d'Elodorwin flamboyaient, comme a chaque fois qu'elle était en colère. Evidemment, son visage lui était serein.

*Moi qui voulait une entrée discrète...*

Elle était énervée contre elle même d'avoir fracassée la porte, mais aussi a la personne qui avait fermé a clé...ainsi elle n'aurait pas eu a le faire. Elle n'avait pas de patience ce soir la. Son objectif était de surprendre, elle pensait avoir réussit sans vraiment l'avoir voulut. Son acoutrement aussi devait surprendre. Sans l'influence de sa mère elle ne se serait jamais habillée ainsi, mais celle ci était de plus en plus présente et tentait de la controler malgré sa résistance. Bientot, ce serait sa mère qui déciderait de sa manière de s'habiller le matin ! Non, elle refusait de se l'imaginer, c'était trop pénible.
Toujours était-il qu'il était trop tard pour ce soir. Elle analysa rapidement la salle et se dirigea vers le buffet, n'ayant pas faim.

Typhohide papotait avec Matchi lorsque la porte tomba. Elle sursauta. Lorsqu'elle vit entrer la jeune femme ainsi que son phoenix, elle fut éblouihie.

Elle est vraiment belle cette robe! pensa-t-elle.

Là, elle était sûr que Len passerait sa soiré avec elle. Elle en eu le coeur brisé. Mais n'en tenu pas rencune à l'elfe. Après tout, il était certain qu'une personne allait arriver dans la soiré et attirer les regards. Elle choisi d'aller la voir. Elle deposa son verre sur la table et se leva en replassant un peu sa robe.

Salut! Je m'appelle Typhohide. dit-elle un peu timidement : sa robe était vraiment impressionnante. Elle ne pouvait pas arrêter de l'admirer. Ta robe est super. Je ne me souvien pas de t'avoir rencontrée, comment dois-je t'appeller? elle lui fit un beau sourire en la regardant enfin dans les yeux. Elle avait cessée de regarder la robe à contre-coeur.

Elo tourna la tête vers la personne qui venait de l'accoster. Elle ne l'avait pas vu arriver et s'en mordit les doigts, sa viligence baissait... Elle voulut le regarder dans les yeux mais ne put pas car celle ci les avaient fixés sur sa robe. Elle n'apréciait pas vraiment qu'on la reluque de la sorte.

- Je m'appelle Elodorwin.

Il était vrai qu'elle n'était pas beaucoup sortie ces derniers temps, a part dans la forêt ou ses nuits d'insomnies. Elle menait un éternel combat contre sa mère et y mettait toute son énergie, ainsi, elle n'avait plus goût a grand chose. C'était pourquoi elle s'était obligée a venir a ce bal, même en retard. Et aussi sous l'influence de sa mère qui adorait danser. Du moins, Elo l'avait conclu par sa dernière visite de cette salle de bal où sa mère avait prit le control d'elle même pour faire une valse improvisée. Ce souvenir ne fit qu'attiser sa colère. Elle aurait voulut la déchargée sur cette inconnue mais jugea qu'elle ne le méritait pas, celle ci n'avait rien fait a part regarder avec insistance sa robe. Elle se trouva soudain ridicule dans cet acoutrement.

- Qu'est-ce que ma robe a de si intéressant pour que tu en restes ébahit ?

Ses yeux brulaient, sa voix était froide et ferme, comme a son habitude. C'était a cause de cela que beaucoup de monde la trouvait impressionante au premier abord.

Matchi était contente d'avoir pu remontter le moral de sa nouvelle camarade de classe, cependant, que celle-ci la laisse en plan sans un mot lui fit monter une boule dans la gorge qu'elle avait rarement rescentie jusqu'alors. Elle tenta de réprimmer sa furieuse envie mais quelque chose au fond d'elle lui disait qu'elle fairait mieux au contraire de la laisser exploser de manière à faire comprendre à cette semi-vampire, semi-ange noire que, si elle acceptait de se montrer compréhensive mais qu'il ne fallait pas la prendre pour une humaine non plus.

Elle se leva d'un bond, fusilla du regard Typhohide qui semblait discutter à présent avec la nouvelle venue qu'elle ne reconu pas, leva sa coupe en sa direction et la vida d'un trait. Pleures un coup, sourit une fraction de seconde plus tard mais si les vampires sont si lunatiques moi je suis nymphe et je refuse que l'on me prenne de haut, qu'on m'utilise puis que l'on me jette. Elle posa sa coupe près d'un vase posé sur la table, y récupéra deux magnifiques fleurs qu'elle plaça devant son visage déjà masqué puis, se glissa dérière Typhohide. Elle fit un léger signe de tête à Elodorwin qu'elle reconu même si elle ne la connaissait pas plus que ça.

Aprochant son visage de l'oreille de Typhohide, elle fit l'un des grands sourirs digne de sa race puis lui murmura juste assez fort pour qu'elle seule puisse l'entendre "Puisqu'apparemment vous avez récupéré à vitesse grand V, que diriez vous de faire quelque peu d'exercice à l'extérieur pour que nous puissions étudier plus amplement votre capacité de récupération ... aux coups cette fois ci ... par exemple ..."

[HRP : pourquoi est-ce qu'on me prend pour une "femme enfant" ? Pas grave mais essaie plutôt de dire "Ange Noir" ... je me vangerai dans mon cour, rien que pour ça ]

Azazelle était plutôt contente de l'arrivée d'Albane. Elle n'aurait pas aimé couper plus court encore à la conversation avec la Khajit.

Regarder le Dom Juan de la salle aller d'une fille à l'autre la fit sourir.

En effet, j'ai d'ailleur étée étonnée de ne trouver dans mon cours seulement des demoiselles. Je n'ai d'ailleur que rarement croisé d'hommes par ici. A l'époque de la chûte je n'en était pas spécialement étonnée, cependant, si l'on croise de jeunes personnes à présent c'est qu'il doit bien exister un père pour chacunes, ainsi que probablement des frères, cependant ils semblent invisibles ... son regard fit rapidement le tour de la salle, il n'y avait guère que quelques atlanticiens au milieu de la foule de jeunes, massivement des filles. Peut-être y en a-t-il d'autres que celui-là dans la mer, cependant j'avoue avoir quelques problèmes à vivre dans l'eau ! lança-t-elle avec un large sourir puis, son sourir s'assombrit et elle continua. Ou peut-être qu'ils se battent encore à la surface pour faire en sorte de repousser les hordes de démons comme c'était le cas il y a bien longtemps ...

Cornélie était lasse de tous ces gens. Tout petite qu’elle était, elle ne voyait pas l’intérêt que portait chaque personne à leur tenue. Les salutations polies, parfois hypocrites, des habitants de la ville la rendait sceptique quant à la sagesse des adultes. Pourquoi faire croire que l’on aime quelqu’un? Plutôt lui dire réellement ce que l’on pense ou au mieux, l’éviter. Cornélie ne comprenait absolument rien aux futilités des personnes matures. Après cette constatation, qui dura quelques secondes à peine, le temps que l’esprit de l’enfant s’interroge, elle reporta son attention sur le journaliste, qui s’apprêtait soudainement à raconter une aventure délicieuse.

Déjà l’esprit malicieux de la petite fille c’était envolé et elle se laissait bercer par les paroles de son ami, comme lorsque son grand-père lui racontait des comptines.

- Oh monsieur fou! Votre histoire m’amuse, continuez là!

Malgré qu’elle ne se voulait pas impolie, la jeune fille parlait toujours sous forme d’ordres car elle n’avait jamais eut de difficulté à se faire obéir des gens autour d’elle. Un petit coup d’œil déçu et tout était réglé!

Se rapprochant de son ami, elle fit signe au gens aux alentours de se taire à force de :

- Chuuuuut! Psssst! Sileeeenceee!

Après qu’un silence convenable pour ses délicates petites oreilles soient remarquable, elle prit place sur un petit tabouret et s’y assit, jambe croisé et yeux éblouis. Bien qu’elle n’est jamais rêver, contrairement aux autres gamines, de chevaliers, de princesses et de princes, la manière de raconter de son ami lui plaisait. D’un ton théâtral et mélancolique, la manière qu’avait Din de raconter ces récits l’intéressait encore plus que les histoires en soit.

[Bas pour être franche, si on tient compte du fait que tu as un avatar d'enfant, que tu t'ai fait passé pour une simple élève en début de cours... il y a de bonne raison pour faire cette erreur. Mais je m'excuse et ne t'appellerait plus comme ça...]

Albane réfléchit au hypothèses et possibilités qu'élaborait Azazelle.

-Pour ce qui est de l'eau, je doute qu'ils s'y trouve. Peu de gens ici on du sang syréen, et la plupart n'ont pas de parents capable de respirer en milieu aquatique... Quand à une seconde bulle, je pense que l'on serait au courant. Et ça fait trop longtemps que la guerre à pris fin. Bien sûr, il y auras toujours du monde pour refuser la défaite, même des siècles après, mais cela n'expliquerait pas entièrement leur absence quasi total. Et toi Kali, qu'en pense tu?

L'ex-assassin avait une bien meilleur raison de ne pas croire à la dernière hypotèse: elle était aller à plusieurs reprise à la surface et jamais elle n'avait constater la continuité des conflis.
Et quand à la Kadji, elle ne souhaitait pas la chasser de la conversation.

C'est alors qu'elle remarqua la présence d'Elo. Ce qui aurait été difficile à ne pas faire vu son arrivée... Ca faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, qu'elle ne prêta pas attention a sa tenue inhabituelle de sa pare. Mais elle se contint et ne partie pas la voire, elle était en pleine conversation, ainsi que sa soeur d'âme, et elle pouvait bien attendre un peu.
Elle se retourna vers celles à qui elle parlait.

Din Quíchötta avait un public, un auditoire attentif qui goberait toutes ses formidables aventures. Comment être plus heureux? Ce n’était pas possible! Son moral remontant en flèche, il se sentait d’attaque pour raconter une rocambolesque histoire qui ferait inévitablement sensation sur son vigilant public. C’est donc avec grandes manières qu’il entama son récit. En plus de la petite lutine, quelques courtisans s’étaient massés autour de Din, prenant place sur les chaises et tabourets environnants.

« Mesdames, mesdemoiselles et messieurs! L’histoire que je m’apprête à vous raconter est véridique sur la plupart des points abordés. Vous ne m’en voudrez certainement pas d’enjoliver quelques détails futiles! » Din fit un clin d’œil discret à une grosse dame ouvrant de grands yeux.

« Donc, où en étais-je? Ah oui! Je me souviens maintenant! C’est donc par une nuit sombre et remplie de bruits inquiétants que je chevauchais en compagnie de mon fidèle compagnons Rossini. Cette vieille bête, peureuse comme une feuille fragile à la fin d’un automne venteux, tremblait d’inquiétude, comme à son habitude. »

Din laissa un petit moment de silence, pour que les gens puissent rire à leur aise. Il continua :

« C’est donc dans une sombre forêt lors d’une sombre nuit remplie de bruits inquiétants que je chevauchais. Le vent m’ébouriffait les cheveux, mais c’était un vent froid, lourd de sens qui contribuait à créer une atmosphère glauque et sordide. Je vous entends déjà me demander ce que je faisais là, si loin d’un bon lit douillet! Eh bien jeunes gens, figurez-vous que je ne m’en souviens pas moi-même! En fait si, ou plutôt non. Bref, c’était des forces surnaturelles qui m’avaient poussées à venir là. La forêt était dense touffue et sinistre. Il faisait une nuit si noire que j’avais de la difficulté à voir plus loin que le bout de mon nez. »

Din prit une autre petite pause, en profitant pour voir une ou deux gorgées de la coupe qui lui était soudain apparue entre les mains. Il attendait une quelconque réaction du public pour savoir s’il avait bien décrit les lieux.

Cornélie était envoûtée par les paroles de l’homme qui se proclamait chevalier errant. Sa manière de raconter transformait l’esprit de la petite fille en un véritable film. Autour d’elle, le vent soufflait dans la nuit sombre. Au milieu de la forêt s’avançait un homme, fier et dur, monter sur un cheval chétif qui avait peine à avancer. Malgré que Din n’en parlait pas, la lutine voyait les oiseaux noirs, de sinistres corneilles annonciatrices de l’orage. En fin de compte, elle était là, elle aussi, marchant derrière le vieux soldat, ses cheveux blancs créant un halo de lumière à travers la forêt obscure. Un bruissement la faisait sursauter et elle se retournait pour voir derrière elle plusieurs convives de bal en train de danser. Un son aigu la faisait trembler car elle s’imaginait qu’une monstrueuse chouette l’avait prise pour une souris mais pourtant, ce n’était qu’une fourchette qu’un jeune garçon avait fait tomber sur le sol.

Lorsque Din prit une pause pour boire quelque gorgée, l’esprit de la fillette était encore embrumé de rêve et de magie. Elle le regarda un moment, les yeux remplis d’admiration. Devant elle se tenait la personne la plus merveilleuse du monde. Devant elle se tenait le chevalier le plus courageux de tout l’univers. Rompant le semi silence, elle se mit à applaudir de ses petites mains blanches. Puis, elle déclara sans aucune hésitation :

-Sacrebleu monsieur! Qu’est-ce que vous êtes fort!

Pour une fois, la petite fille croyait en quelque chose car il est bien connu que seul un menteur saura attirer l’attention d’une jeune menteuse. (Sans vouloir insinuer que ce brave Din soit un menteur ) Puisque l’esprit de Din était encore plus tordu que le celui de Cornélie, la petite fille avait enfin trouvé un partenaire de jeu et de mensonge car pour elle, rien n’était plus beau que d’embellir la vérité. Elle regarda l’homme d’un regard avide, car elle avait soif d’en apprendre plus sur son passé.

Non merci! ¸a va aller pour ce soir! lui dit-elle à la même tonnalité que Matchi.

Typhohide sentait que la jeune fille bouillait. Elle se rappelle ce que son père adoptif lui avait dit «tu dois toujours regarder la personne à qui tu t'adresse dans les yeux, c'est une marque de respect». Elle releva donc ses yeux noir et les plenta dans ceux de l'elfe.

Cette robe est magnifique et n'est pas discrette. Si tu la porte, c'est sûrment pour te faire remarquer. Lui dit-elle avec un de ses rares sourir.

La réflexion de Typhohide contraria Elo en même temps qu'elle lui fit plaisir... La franchise de ses paroles prouvait qu'elle avait quelqu'un de direct devant elle. Ainsi, elle n'aurait pas a se méfier des faux fuyants ou des potentiels sous-entendus. Mais Elo ne montra rien ni de sa contrariété ni de son contentement, et se contenta de répondre :

- Effectivement, elle n'est pas discrète. Mais je ne la porte pas pour me faire remarquer. Si tu me prends pour une de ses femmes ayant besoin de se montrer et de se faire remarquer tu te trompes complêtement.

Elo détestait cette robe...elle se trouvait bien a dire cela dans cette tenue...
Elo reporta ensuite son attention sur Matchi qu'elle avait ignorée jusque la. Elle trouvait irrespectueux sa manière de se comporter face a elle.

- Peut-être que je dérange ? Si c'est le cas, tu devrais me le dire plutot que de chochoter a son oreille alors que je lui parle.

Sur ces paroles, Typhohide aurrait voulu être un courant d'air : elle détestait être entre deux personne qui risquaient de se confronter à tout moment. Elle fit deux pas en arrière : elle bouillait à l'intérieur à cause qu'elle devenait agressive.

Non... tu...ne dérrange....pas...s'éfforça-t-elle de dire.

Elle se tourna vers Matchi.

J'irai te rejoindre plus tard, en attendant, je veux être avec Élodorwin pour mieux la connaître.ajouta-elle en se refroidissant.

En effet, Typhohide ressantait le besoin de la connaître, comme une drogue forte................

[ Je ne penssait pas t'ignorer, loin de là c'est pour celà que j'avais écrit ceci ...

Matchi a écrit:

Elle fit un léger signe de tête à Elodorwin qu'elle reconu même si elle ne la connaissait pas plus que ça.

mais tu n'as pas du relever et ce n'est pas grave ]

Matchi releva la tête et soutint le regard d'Elodorwin avec un sourir de circonstance. Désolée de vous importuner au milieu d'une discution qui semble aller bon train, cependant j'avais un message à passer à cette demoiselle et seulement à cette demoiselle. Penssez bien que je ne me serrai pas gènée de vous faire partager mon message s'il n'avait pas intéressé uniquement celle-ci et moi même. Si après tout vous persistez à voulloir connaitre ce message, je vous répondrai que je proposait juste disons ... de faire un peu d'exercice pour étudier un peu ...

Dispenssant un large signe de tête pour qu'Elodorwin voie bien celui-ci, elle tourna le regard vers Typhohide et lui lança un regard noir avant de lui dire d'une voix ferme et assez forte pour que la demi-elfe l'entende sans problème "Je ne serrai pas loin. Au cas où tu préfèrerai réfléchir un peu à ce qui ne va pas chez toi je te conseille de demander à Elodorwin. Elle semble bien plus callée que toi en matière de savoir vivre."

Elle fit ensuite deux pas en arrière annonça "Je vous souhaite une bonne fin de soirée !" à l'attention des deux jeunes femmes puis se retourna en marchant droit vers le banquet. Peut-être y croiserait-elle des personnes plus convenables ou d'autres qu'elle connaissait déjà. Une chose était sure, elle fairait attention la prochaine fois qu'elle remonterai le moral à quelqu'un.

[si si, j'avais parfaitement relevé le signe de tête, mais ça ne change pas l'agissement d'Elo]

Elo fut surprise qu'on pense qu'elle attachait une importance quelconque à sa discussion avec cette inconnue du nom de Typhohide. En réalité, elle se fichait de tout, rien de ce qu'elle pourrait dire ou faire ce soir qui n'avait rien avoir avec sa mère ne mènerait a rien. Mais elle ne voulait pas devenir antisociale, et se forçait a être entourée de monde.
Elle fut surprise aussi, quand Typohohide dit, elle, qu'elle attachait une importance a leur discussion. Elle voulait mieux la connaitre, et bien elle aurait du fil a retordre. Elo n'était pas du tout disposée a révéler quoique ce soit sur elle ou son passé. Encore moins qu'a l'habitude.
Elle fit un signe de tête pour saluer Matchi et but une gorgée d'un liquide rouge qui lui était inconnu. Elle ne se rappelait même pas avoir prit un verre. C'est alors que son phénix vint se poser sur son épaule et lui dit :

- Je vois que tu fais vite de noucelles connaissances...
- Détrompe toi, si au moins je pouvais partir...
- POurquoi donc ? J'aprécie cette soirée et tous ces regards posés sur moi.
- Ca nez m'étonne pas de toi. Mais ma mère bouillone a l'intérieur et elle attend le bon moment pour sortir. Bientôt je me retrouverais a danser avec le premier homme que je verrais !

Après quoi il coupa la connexion et regarda dans les yeux Typhohide comme il le faisait avec tout le monde. Mais lui non plus n'était pas d'humeur a faire quelque salut que ce soit et sortit par la grande entrée pour aller chasser.

(avant toute lecture de ce texte, je tiens à rappeller que mon phoenix a appris à parler)

Lorsque le phoenix fit son entré, Typhohide lui jetta un coup d'oeil et les rammenèrent à ceux d'Élodorwin. Décidement, il y avait plus de phoenix dans cette école que de charmants petis chat que tout le monde (ou presque) adord!

Il à l'air en pleine forme ton phoenix...lui dit-elle en baissant la tête. Il c'est habitué à vivre à l'école...lui....

Au moment où elle termina sa phrase, Braise entra dans la salle en volant avec difficulté. Il n'arriva pas à son épaule et fit '' un atterissage d'urgence''.

Braise! cria-t-elle en se panchant sur lui. Qu'est-ce qui ce passe!
J'était...dans la forêt saisonnière. Et.....le loup-garou de la dernière fois était......là.

(je précise moi aussi que je ne communique pas vraiment télépathiquement avec mon phénix : on communique mentalement, mais par images)

La réflexion de Typhohide fit rappeler a Elo qu'elle ne s'était pas beaucoup occuper de Brule-Flammes depuis son arrivée ici. Mais il ne s'en était jamais plaint, comme quoi cela lui plaisait. Enfin, elle gardait sa relation privilégié avec l'oiseau. Elle vit le phénix de Typhohide arriver en catastrophe. C'était le troisième qu'elle voyait a Atlantis, a croire qu'ils étaient sociables...même si Brule-Flammes ne l'était pas vraiment. Elle aussitot que Braise était blessé. Mais elle d'autant plus étonnée de voir qu'il parlait ! Elle ne leur connaissait pas cette facultée. Enfin bon, elle ne pourrait jamais l'apprendre a Brule-Flammes avec son sacré caractère. Et puis, elle préférait lui parler sans que personne ne le sache.
Dès que le mot ''loup-garou'' fut prononcé, Elo porta automatiquement sa main a sa hanche, la où aurait du se trouver son épée...si sa mère ne l'avait pas forcée a porter cette robe ! Elle fut également surprise qu'un loup garou puisse faire du mal a un phénix. Et elle eut tout de suite peur pour Brule-Flammes. Ses yeux s'agrandir quelque peu, seul signe qu'elle s'inquiétait, rien d'autre n'avait bougé dans son visage.

- Mon phénix, il faut que je le prévienne. Et tant qu'a faire...pourquoi pas s'occuper de ce loup garou, ça me défoulera.

Elo regarda Typhohide, on aurait pu croire qu'elle attendait son aprobation, mais pas vraiment. Elle essayait de contacter son phénix, seulement il était trop loin apparemment. Il volait vite mais a ce point...c'était un record !!! Elle sortit rapidement de la salle par le même endroit qu'elle était entré. Il fallait d'abord qu'elle aille chercher son arme...

[Bon bas puisque ni Kali, ni Azazelle ne répondent, je coupe court pour ma part]

Albane continua à discuter avec Azazelle et Kali -quand celle-ci acceptait de parler- puis, au bout d'une longue discutions, s'excusa, salua celles à qui elle parlait, puis sortit.dans l'herbe et se plongea dans l'observation des étoiles, comme elle le faisait si souvent.
Elle les trouvait magnifiques, les connaissait par coeur, de leurs nom à celle de leurs constellation, jusqu'à leur mouvement au fil du temps. Elle savait laquelle n'était pas visible pour l'instant, laquelle ne tarderait pas à disparaitre ou à apparaitre, ou et quand une étoiles était visible, laquelle indiquait le nord, le sud, l'est ou l'ouest...
Mais cette soirée là, elle ne réfléchit pas à ses connaissance sur elles, mais elle les admira simplement. Elle n'entendit pas la personne qui arrivait derrière elle.

[Pardon de ne pas avoir posté mais j'attendais une participation de la part de Kali]

Azazelle étoutait la conversation entre Albane et Kali sans vraiment trop d'attention. Elle était plus occupée à ignorer la khajit qu'à autre chose, même si celà lui faisait involontairement ignorer son élève.

Son regard s'étant porté en direction de Typhohide, Elodorwin ainsi que Matchi, elle s'amusa de la scène même si elle ne pouvait qu'en devinner les paroles. Elle vit cette dérnière se diriger en direction du buffet non loin de là quand Albane s'excusa auprès d'elles et les quita. Ne faisant ni une ni deux, Azazelle sauta sur l'occasion de se débarasser de l'infirmière et de sa mauvaise compagnie après avoir souhaité une bonne fin de soirée à Albane qui sortait déjà.

Songeant un instant à aller la rejoindre pour prendre l'air, elle s'en détourna lorsqu'elle reconu une lueur bien connue dans le regard de la jeune nymphe. Elle pris son casque à deux mains, le porta au dessus de sa tête puis le posa et en ajusta la lanière de cuir fin. Elle s'aprocha de Matchi avec un sourir léger pour la mettre en confiance.

Il n'y a que peu d'hommes ici pour occuper les plus belles jeunes femmes. Accepteriez vous qu'une personne telle que moi vous invite à danser ?

Typhohide chargea ses paumes de lumière et referma les plaies sur le dos du pauvre phoenix.

Merci, Typhohide. Maintenant, on devrait aller aider Brule-Flamme et Elodorwin...

Non pas question! JE Vais aller les auder, toi, tu reste ici.

Elle se leva d'un bon et alla dans sa chambre chercher ses armes et se changer pour une meilleur habileté dans le combat assuré qui se préparait.

Matchi n'avait pas même eu le temps de saisir une coupe qu'Azazelle l'aborda. Tout d'abord surprise quand à la réplexion qu'elle fît, elle accepta de bonne grace la main de cette cavalière improvisée. Elle se laissa mener sur la piste de danse et salua l'ange noir comme de coutume dans son pays d'origine. Il était clair qu'elle savait très bien danser, cependant, elle n'avait jamais été en situation de devoir mener la danse, c'est pourquoi elle lui fit signe de prendre les devants.

Leitha sortie triste des coulisses. Elle jeta un regard torve en direction de la piste de danse. Elle vit plusieurs rires et s'amuser. Elle passa comme une ombre et sortie dehors. Elle vit Albane et hésita à aller la voire. Elle passa à côté d'elle espérant ne pas être remarquée.

Albane, plongée dans l'admiration des étoiles, ne vit pas tout de suite Leitha. Mais sa formation d'assassin repris bien vite le dessus et elle finit par remarquer sa présence. A sa façon de marcher silencieusement, Albane compris que la jeune fille ne souhaitait pas être remarquer, ou alors, pas se lancer dans une discussion. C'est pourquoi elle se fendit d'un simple "bonsoir" qui n'engageait aucune discussion et laissait le choix à Leitha. Celle-ci pouvait l'ignorer, ou lui souhaiter à son tour bonne soirée, ou encore, lui répondre et se lancer dans une conversation. Quoi qu'il arrive, Leitha aurait le choix.

Ses tentives échouées, Leitha n'était pas d'humeur a discuter ce soir. Elle ne savait pas pourquoi elle avait dit oké a Félicia pour venir. Elle ce tourna vers Albane et soupira.

-Pardon je ne voulais pas te dérenger, tu avais l'air concentré sur les étoiles. Je dois dire qu'elles sont plustôt belle ce soir.

Elle jeta un regard sur la robe que portait Albane.

-Tout comme toi et ta robe. Je ne t'avais pas vue a la soirée. Tu t'amuses?

Gaya se dit que la meilleure place pour rencontrer une partie de ses peut être future élève, ce serait un bal. Elle avait donc enfilé une robe aux manches très amples avec un capuchon rattaché au cou. Le blanc immaculé de sa robe, à cause de sa peau et de ses cheveux, mettait Gaya en valeur. Elle se rendit à la salle de bal sur le dos d'une licorne-pégase. Elle atterrit de façon majestueuse juste à côté des deux jeunes filles qui était dehors.

Tu peux rester dehors, Blue-Eyes, mais ne t'éloigne pas, au cas où j'aurais besoin de toi. Lui dit-elle de sa voix de satin tout en lui flattant l'encolure.

Elle s'approcha des deux élèves qui bavardaient.

Bonsoir, mesdemoiselles, comment se porte votre soirée? Leur demanda-t-elle de ton infiniment doux.

Leitha sourie en voyant une licorne-pégase. Elle en avait rêver quand elle était toute petite fille.

-La mienne pourrait être meiux. Je vous remercie. Dit-elle sur le même ton doux. Et vous, vous êtes nouvelle a ce que j'ai entendue dire?

Elle ne voulait pas être indiscète. Elle préféra s'excuser.

-Pardonnez moi si j'ai été indiscrète...

Gaya laissa échapper un petit rire amuser qui aurait tôt fait de charmer un homme qui aurait été présent.

Ce n'est pas d'être indiscrète, à moins que ce ne sois privé d'arriver dans une école.

Elle jugea qu'il n'était pas nécessaire de leur dire qu'elle était professeure. La musique devint alors un peu plus douce.

Mais que faites-vous dehors pendant que les autres sont à l'intérieur en train de s'amuser? Leurs dit-elle en leurs faisant signe de l'accompagner à l'intérieur.

Je déteste voir des gens s'amuser pendant que d'autres sont seuls dehors, allez!!! Décidez-vous! Pensa-t-elle.

Puis, elle crut qu'elle les dérangeait. Elle fit un pas en arrière et attendit la réponse.

Il faudra que je change ça si je veux enseigner... songea-t-elle.

Leitha n'était pas d'humeur, et ses sentiment semblaient être contagieux. Albane chassa la ronchonnerie qui commençait à la gagner et fit un sourire pour accueillir la nouvelle venue.

-Bonsoir, je m'appelle Albane, et la jeune fille que vous voyer ici, c'est Leitha.

Elle fit les présentation calmement et d'une voix posé, signifiant ainsi clairement à l'inconnue qu'avant de poser des question et de donner des injonctions, la première chose à faire était de se présenter.
Elle attendit que la nouvelle venue le fasse à son tour puis continua la conversation.

-Et bien, pour ce qui est de mon compte, j'étais à l'intérieur il y a peu de temps encore, mais les disputes et les mauvais souvenirs y sont trop nombreux et j'ai décider d'aller prendre l'aire le temps que ça se calme. Quand à Leitha, je ne peut pas vous répondre étant donner que l'on vient juste de se croiser...

Elle jeta un regard à la vampire, essayant de lui faire comprendre que si elle souhaitait s'éclipser, il était encore temps mais qu'elle ne verrait pas la moindre objection à ce que celle-ci reste. Elle ne l'invitait ni ne la chassait, laissant une totale liberté à la jeune fille tout en se rendant compte qu'elle utilisait encore ses capacités spécial pour mener les chose selon son bon vouloir à une fête.

Veuillez me pardonner, je suis un peu lunatique et j'ai oublié de me présenter, Je suis Gaya. Elle dit, comme à l'habitude, d'un ton très doux. Alors, si les autres ne veulent que s'ennuyer en se rappelant le passer durant une fête, tant pis pour eux! Allons donc nous amuser juste toutes les trois et nous pourrons rappeler aux autres ce que signifie le mot ''amuser''. Leur dit-elle, un sourire illuminant son visage.

Elle se dirigea à l'intérieur, elle avait proposé aux deux jeunes filles de venir s'amuser avec elle, il n'en était plus qu'à elles de décider. Sinon, elle pourrait faire la fête seule mais ce serait moins amusant.

Leitha n'avait aucune envie de rentrer dans la fête. Elle voulait être ailleure, seulement ailleure. Elle ne savait pas elle ressemblait a quoi. Sa robe pouvait lui mal faire et avoir une grosse tâche au milieu de dos qu'elle ne le verait pas.

-Je vous remercie mais je préfère rester dehors.

Elle regarda Albane une dernière fois avec un faible sourire. Ce qu'elle aurait aimé rester mais les fêtes et elles n'étaient pas bon ménages.

Lorsque Gaya entra, elle vit pourquoi les filles voulaient rester dehors. Les émotions étaient si fortes qu'elle avait de la difficulté à restée debout. Elle perdit l'équilibre et s'accrocha à 2 mains aux pentures de la porte et se mit à avoir de la difficulté à respirer. Tout devenait embrouillé autour d'elle et le décore commençait à tourner. Elle s'évanouit à l'entré.

L'étrange couple arrivant au milieu de la piste, Matchi salua Azazelle qui comprit que celle-ci semblait certe habituée aux bals mondains mais surtout une chose ... que ce serrait à elle de prendre les choses en main. Elle resta droite au salut de la jeune nymphe puis lui fit un salut marqué de la tête tel qu'elle avait vu faire lors de soirées passées dans cette même salle de bal lorsqu'elle n'était encore qu'une inconnue de tous. Aujourd'hui qu'elle était professeur, il n'y avait plus aucune raison de ne pas afficher sa fierté. Elle tendit un bras en direction de Matchi pour lui montrer qu'elle avait compris le message. La musique vennait de finir et les premiers accords d'un passo doble se faisaient entendre au violon.

Quelques instants plus tard, Blues-Eyes avait ressentit le malaise de sa maîtresse. Il arriva au galop devant la porte et se pencha pour essayer de soulever Gaya, en vain. Il déploya ses ailes et s'envola au dessus des gens sur la piste de danse. Il se mit à tournoyer au dessus de leur tête en espèrant que euqlqu'un le verait. Mais personne ne semblait y pretter attention. Il se posa au sol magestueusement mais bouscula quelques personnes. Il se mit alors à hénir et à charcher des yeux une personne qui pourrait l'aider. Il vit l'ange noir et ressentit quelque chose en elle. Il trotta jusqu'à elle dans l'intention de la pousser jusqu'à Gaya. Il était presque sur Azazelle.

En voyant Gaya tombé, Albane se releva avec une rapidité étonnante tout en poussant un juron qui aurait fait sifflé bien des oreilles en comité élevé et se précipita vers l'inconsciente après avoir demandé de l'aide à Leitha.
Arrivé près d'elle, l'ex-assassin eu vite fait de comprendre que Miss Reine des Bourdes et de la fête ne s'était qu'évanouit. Albane libéra l'entrée en se servant de sa magie de l'air pour transporter "la blessée" puis la reposa au sol sans douceur. Elle fit les gestes qu'on lui avaient appris à faire dans ce genre de situation puis gifla un grand coup la victimes pour la ranimé avant de se reprendre et de se contenter de petites claques "toutes gentillettes" en l'appelant par son nom. Après tout, Gaya n'y était pas pour grand chose dans ses problème et elle n'avait pas à lui faire payer.
Entendant le pégase-licorne hennir désespérément, elle transmit rapidement une pensée à son phénix.

"Menfalm, fait comprendre à cet équidé paniqué qu'il ferait mieux de quitté la salle avant de nous faire une syncope et de tomber sur les invités. Et s'il n'écoute pas, dis lui simplement que j'achèverait sa chère compagne s'il ne se dépêche pas d'en sortir..."

"Bien sûr, je ne lui transmettrait pas tes paroles mots à mots, sinon il va réellement nous la faire, ta syncope. Ah! Heureusement que je suis là pour calmer le jeu t'éviter de graves ennuis, comment ferais-tu sinon..."

C'était là une fore d'humours très spécial que les deux amis avaient développés entre eux aux cours de leurs vie commune et que seuls ceux habitués au malheurs pouvait comprendre.
Menfalm transmit rapidement le message et rejoignit Albane qui continuait à gifler doucement Gaya tout en l'appelant. Bien que pas très forte, ces claques suffisait à calmer peut à peu les nerf de la jeune hybride qui parvint à sourire en voyant celle qui avait perdue connaissance commencer à réagir à ce martèlement.

[non pas que je sois insensible Gaya mais je te prie d'escuser ma manière de faire ...]

Matchi saisi la main tendue par Azazelle avec la douceur et la fermeté due au carractère de la danse. Elle fit un grand pas et empoigna l'ange noir qui fit de même. La jambe droite, pliée, elle fit claquer son talon au sol avant de lancer un regard noir au pégase pour lui imposer de les laisser tranquiles Azazelle et elle. A son grand étonnement, Azazelle avait réagi de la même manière qu'elle. Toutes deux avaient envie de se défouller et, plutôt qu'un combat, une danse de fort carractère plaisait bien plus à ces deux amoureuses de la danse. Elles firent volte-face et s'élancèrent sur la piste.

L'ange noire étant légèrement plus grande qu'elle, Matchi se laissait menner de main de maître, virvolletant dans un sens comme dans l'autre, son regard plongé dans celui de sa partenaire. Une tension invisible mais palpable passant de l'une à l'autre, chacune allant au bout des émotions développées par la musique.

Leitha s'était précipité en voyant Gaya tomber. Elle s'approcha mais décida qu'Albane dirigait très bien le scène. Elle sourie en voyant lui donner des "claques"à l'évanouie. Elle ne réagit même pas. Elle jeta un regarda dans la salle et vie la licorne-pégase faire une scène de panique. Elle ce dirigea donc vers lui avec la ferme intention de le calmer. Elle n'avait jamais parlé avec un animal de cette espèce.

En voyant la vampire s'approcher, Blues-Eyes se calma aussitôt. Ses naseaux s'ouvraient et se fermaient à un rythme irrégulier. Il laissa la jeune fille s'approcher de lui tout en calmant sa respiration. Tout à l'heure, il n'avait rien écouté de ce que le phénix lui avait dit.

Gaya était secouée de spasmes. Les appelles de la jeune élève devinrent de plus en plus clairs dans l'esprit de la fée. Elle battit des paupières légèrement. (J’ignore si on est dehors ou en dedans alors on va dire que tu m'as fais sortir juste à l'entré) Elle se redressa brusquement. Lorsqu'elle vit qu'elle était à l'extérieur, elle se calma. La fée azurée se souvint de ce qui s'était passé.

Je crois que je suis la personne qui a fais la plus mauvaise impression! pensa-t-elle.


Elle vit son pégase-licorne au milieu de la salle. Elle voulu se lever, mais sa fatigue eu raison d'elle. Elle s'étalla de tout son long sur le dos et s'endormie, un mal de tête ne se gênant pas pour la faire souffrir en même temps.

Leitha regarda la créature avec l'éerveillement d'une petite fille. Ses grands yeux noirs étaient remplis d'étincelles. Elle carressa l'encolure de la bête et lui chochota dans sa langue qu'elle ne lui voulait aucun mal. Elle le remplit de compliments. Espérant le faire sortir d'ici mais pas qu'il parte immédiatement.

(Puisque Gaya est inconsciente, je vais faire jouer seulement le Pégase-Licorne)

Blues-Eyes regarda la vampire dans les yeux. Il vit en elle un courage qui dépassait grandement celui des autres créatures. Il avança lentement et sortie de la salle, Leitha à ses côtés. Il avança rapidement et fit volte-face. Il regarda Leitha de la tête aux pieds. Il s'approcha d'elle avec la grâce de sa race et poussa Leitha du museau. Il s'emblait s'attendre à quelque chose d'elle.

J'ai vu quelque chose dans tes yeux... lui dit-il. Sa ''voix'' était grave mais sage.Ton destin semble être plus important que tu ne le crois!

(D'accord! D'accord!! Mais j'ai écrit 4 lignes!)

Leitha ne comprenait pas ce que Blues-Eyes lui voulait. Mais elle le trouvait vraiment magnifique. Quand elle lui parla. Elle fronça les sourcils d'incompréhension. Elle ne savait pas de quoi il parlait. Peut-être ce trompait-elle ou bien elle interprétait mal. Elle ne savait pas du tout ce que avait a voir son destin dans une soirée de bal...

*Tu es sur que mon destin est spécial?* Lui demanda-t-elle dans sa langue. *Tu pourrais peut-être te tromper de personne.*